• Golden Earring - I Do Rock 'N Roll - 1979

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  • MUSIQUE - D'un Idol en survivor à une idole éternelle par-delà la mort : porté un peu disparu depuis les années 1990 qui ont bien failli l'engloutir un soir d'overdose, Billy Idol ressuscite au format d'icône hollywoodienne ultime. Il investit la passion meurtrière d'Orson Welles pour Can't Break Me Down, un nouveau clip intense.

    Le rockeur anglais de 58 ans, connu autant pour les tubes Hot in the City, Dancing with Myself et White Wedding que pour ses cheveux inaliénablement blond platine, publie ce mois-ci Kings & Queens of the Underground, son septième album studio en quarante ans de carrière, produit essentiellement par le génie de la pop Trevor Horn (The Buggles, Yes), alias "l'homme qui a inventé les années 80", et Greg Kurstin (Lily Allen, Pink, le dernier Sia). Et le voilà qui, dans la peau d'Orson Welles (rien de moins...) dans La Dame de Shanghai (1947), nous adresse une des saisissantes "cartes postales du passé" - pour paraphraser un de ses nouveaux titres (Postcards from the Past) - de ce successeur à Devil's Playground (2005), sous la forme d'un clip revisitant un sommet du film noir. La classe hollywoodienne. Histoire de rappeler que son parcours, retracé dans une autobiographie (Dancing with Myself) qui vient de paraître, est bien digne d'un film.

    "Tu veux qu'il pleuve sur l'histoire de ma survie/T'es dingue, bébé, parce que je n'ai jamais eu le moindre doute/Je chante des chansons d'amour et de gloire [Love and glory, titre d'une autre chanson de l'album, NDLR] (...) C'est rien que ma réaction naturelle/Quand je heurte le sol/Je suis l'assassin originel/Je me relève et je continue" : dans Can't Break Me Down, premier extrait vitaminé de Kings & Queens of the Underground, Billy Idol se pose en amant indestructible, résistant aux blessures, aux balles, aux coups de poignard dans le dos de l'amour. À l'épreuve des "bang, bang, bang" - tout le contraire de Cher et Nancy Sinatra - qu'il scande en ouverture d'un refrain exactement explosif. D'ailleurs, la vie est plus forte, et fait effraction de tous côtés, dans ce morceau nerveux, urgent et brillamment arrangé, à l'énergie électrique (ambiance de stade en entrée...) peuplée de sons cristallins et qui s'achève dans l'envolée héroïque de la guitare lead. Impeccable, la voix de l'interprète mythique de Rebel Yell se fait impérieuse, dans les graves comme dans les aigus, glaçante en duo avec ligne mélodique de la guitare électrique lors des couplets, en force à vous coller au mur pour les ponts et le refrain, catchy comme Idol en a eu - et en a toujours, de toute évidence - le secret.

    Une idole rock, une lady danseuse bombe atomique, un boiteux agile... Une légende.

    À l'onde de choc sonore répond la puissance visuelle du clip signé du réalisateur avant-gardiste Jason Trucco, qui ose s'emparer (comme Woody Allen avant lui, dans son Meurtre mystérieux à Manhattan) d'une scène parmi les plus cultes appartenant à l'âge d'or du film noir hollywoodien. En 1947, Orson Welles se mettait en scène au coeur d'un triangle amoureux dans La Dame de Shanghai, s'éprenant à l'écran du personnage d'Elsa Bannister joué par la divinissime Rita Hayworth (son épouse à la ville, avec laquelle il était en instance d'un divorce houleux), mariée à un avocat boiteux du nom d'Arthur Bannister (Everett Sloane). Le drame atteignait son paroxysme final lorsque les époux Bannister s'entretuaient au coeur d'un palais des glaces, dans un tonnerre de verre brisé fracassant dont O'Hara (Welles) sortait indemne.

    Billy Idol, loin du look bondage et de la fièvre ruisselante de son hit Dancing With Myself, reprend le rôle. Face à lui, viril et ferme, l'objet de désir insensé prend les traits et les lèvres de feu d'Izabella Miko, comédienne et danseuse polonaise de 33 ans aux faux airs de Michelle Pfeiffer, méconnue mais pas inconnue : après des débuts au cinéma terre-à-terre dans Coyote Girls, puis plus aériens dans Bye Bye Blackbird avec James Thierrée, elle était l'héroïne de Save the Last Dance 2, avant de donner la réplique à Val Kilmer dans Double Identity et de redanser dans Sexy Dance 5. Elle s'est également fait remarquer avec une choucroute de cheveux blancs en 2004 dans l'ambiance baroque du clip de Mr. Brightside, hit de The Killers, dont elle faisait à nouveau tourner la tête dans Miss Atomic Bomb (2012). Le troisième protagoniste de cette valse létale, le mari claudiquant, est joué par le danseur et chorégraphe Ryan Heffington, qui est également le chorégraphe du clip, produit par Niv Gat et Dana Lustig. Ses moments de danse avec Izabella sont absolument somptueux, à l'instar de l'imagerie globale de la vidéo. Lui non plus ne sort pas de nulle part : référence du monde de la danse qui a collaboré avec Michael Jackson et Britney Spears ainsi qu'à de nombreux clips, pubs (dont la campagne Live Young d'Evian) et films, le Californien est derrière le clip événement de Sia, Chandelier, qui a fait de la toute jeune Maddie Ziegler une star.

    Quand Billy Idol fait son cinéma...

    Billy Idol réalise avec Can't Break Me Down une nouvelle incursion dans l'univers cinématographique. Plusieurs chansons de son deuxième album, Rebel Yell (1983), s'étaient retrouvées sur la bande originale du film Big (1988), avec Tom Hanks ; Oliver Stone l'avait casté pour The Doors (il n'y jouera finalement qu'un petit rôle, suite au grave accident de moto qui faillit lui coûter une jambe en février 1990 et le priva aussi d'une apparition dans Terminator 2) ; Cradle of Love fut utilisée pour la bande-son des Aventures de Ford Fairlaine ; il composa Speed pour le blockbuster éponyme (1994). Et en 1998, au coeur de sa traversée du désert, sa brève apparition dans la comédie The Wedding Singer (avec Adam Sandler et Drew Barrymore), qui reprenait son inoubliable White Wedding, lui offrit un joli coup de projecteur.

    Dix ans plus tard, il se prenait en 2008 pour John Wayne, dans un titre inédit inclus dans la compilation The Very Best of Billy Idol : Idolize Yourself. Et désormais, pour l'album Kings & Queens of the Underground (dont l'un des morceaux s'intitule... Eyes Wide Shut), il emprunte le mythe Orson Welles, avec la belle Izabella Miko et le charismatique Ryan Heffington. Une réunion de talents pour une vision cauchemardesque... jouissive.

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  • MUSIQUE - Non, Lionel Richie n'est pas le père de Khloé Kardashian.

    L'interprète de Say you, say me, est victime d'une rumeur lancée par le magazine In Touch qui affirmait qu'il était le véritable père de la sœur de Kim Kardashian. Le magazine racontait en effet la semaine dernière que le chanteur aurait eu une liaison avec Kris Jenner, la "momager" de la dynastie Kardashian, au début des années 80. Selon un proche de Lionel Richie, c'est ce dernier qui se serait vanté d'avoir eu plusieurs rendez-vous galants avec Kris Jenner alors que celle-ci était toujours mariée à Robert Kardashian Sr.

    La rumeur avait été reprise par d'autres médias et le site RadarOnline avait même estimé que la ressemblance entre Khloé Kardashian et Sofia Richie, la fille biologique de Lionel Richie âgée de seize ans, était "frappante".

    "Je ne suis pas son père"

    Pourtant, ce dernier vient de démentir. Interrogé par les journalistes de TMZ, la star de la soul américaine a déclaré, tout en rigolant, "non, je ne suis pas le père de Khloe Kardashian". On n'aura donc pas droit à de tendres retrouvailles père-fille dans les prochaines aventures de L'incroyable famille Kardashian. Dommage, le public américain se serait sans doute passionné pour cette histoire.

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  • Alphaville - Dance With Me - 1986

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  • MUSIQUE - L'ancien chanteur des Smiths retrouve Paris pour un concert qui promet d'être marqué par une émotion particulière, à la suite de ses aveux quant à son état de santé.

    World Peace is None of Your Business (Capitol/Universal Music) nous a restitué le chanteur de Manchester dans toute sa splendeur, au beau milieu de l'été dernier. Salué unanimement comme son meilleur album depuis le classique Vauxhall and I de 1994, le disque a fait oublier l'aigreur qui affleurait à chacune des pages de son autobiographie, parue il y a un an, et couronnée d'un grand succès. Plus de vingt-cinq ans après la séparation des Smiths, groupe qui l'a révélé au début des années 1980, Morrissey demeure une figure incontournable de la pop anglaise. De celles que l'on respecte sans forcément toujours écouter leur production. En tout cas jusqu'à World Peace is None of Your Business - en bon français «La paix dans le monde -, ce n'est pas votre affaire», meilleur titre d'album de l'année, et de loin.

    Depuis une poignée d'années, l'auteur de Bigmouth Strikes Again multipliait les annulations de concerts, éveillant une certaine inquiétude quant à son état de santé. Dans un entretien donné au quotidien espagnol El Mundo le 6 octobre dernier, le quinquagénaire a avoué souffrir d'un cancer. «Si je meurs, je meurs. Et si je ne meurs pas, je ne meurs pas», a-t-il déclaré avec son sens habituel de la formule. «Les médecins m'ont déjà retiré des tissus cancéreux à quatre reprises, mais qui s'en soucie? Pour l'instant, je me sens bien. Je suis conscient que je n'avais pas l'air en forme sur certaines photos récentes, mais c'est ce que la maladie provoque», a-t-il avoué dans une rare confession intime. On a connu le chanteur beaucoup plus discret quant à sa vie personnelle.

    Margaret on the guillotine

    Pour l'heure, l'homme tient à maintenir ses engagements, après avoir multiplié les pépins: ulcère, double pneumonie puis infection respiratoire l'ont tenu éloigné des scènes ces deux dernières années. «Je me reposerai quand je serai mort» , a déclaré cet amoureux des aphorismes d'Oscar Wilde, meilleur parolier de la scène anglaise avec ses compatriotes Ray Davies et Jarvis Cocker. Dans les années 1980, au plus fort de la popularité des Smiths, Morrissey vouait la Dame de fer comme la reine d'Angleterre aux gémonies. On se souvient du chef-d'œuvre icomme de sa chanson Margaret on the Guillotine. Malgré la brièveté de son existence, The Smiths demeure une des formations britanniques les plus aimées de tous les temps. Bon nombre de nostalgiques appellent de leurs vœux une reformation. Une perspective qui paraît peu plausible, le guitariste et compositeur du groupe Johnny Marr menant pour sa part une belle carrière sous son seul nom.

    Morrissey termine actuellement son premier ouvrage de fiction, après avoir publié son autobiographie l'an passé. Il envisagerait d'ailleurs de se consacrer pleinement à l'écriture dans un avenir proche. «J'ai atteint un âge où je ne devrais plus faire de musique… La plupart des compositeurs classiques sont morts à 34 ans. Mais je suis toujours là et personne ne sait quoi faire de moi.» Boutade ou profession de foi ?

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  • Wild kind of look to the day, opening eyes impale neon flickers
    She moon she turning away, the city's her slave but he's cheating his mistress
    She's moody and grey, she's mean and she's restless (so restless)
    All over you as they say rumours or rivals yell at the strike force
    Hi guys, by the way, are you aware you're being illegal
    It's making your savior behaviour look evil
    'scuse my timing but say, how d'you fit in with this flim, flam and judy

    Maximum big suprise your smile is something new
    I pull my shirt off and pray, we're sacred and bound to suffer the heatwave
    Pull my shirt off and pray we're coming up on re-election day

    Don't even try to induce, In all my restrain there's no hesitation
    All the signs on the loose 'cause sanity's rare this end of the hard day
    (yeh)Shadows are crawling out of the subway
    Any way that you choose in every direction just to confuse me

    Maximum big suprise she knows something new
    I pull my shirt off and pray, i'm saving myself to suffer the heatwave
    Pull my shirt off and pray, we're coming up on re-election day

    By roads and backways a lover's chance down a wind
    Cut open murmurs and sounds be calm hands on skin
    Carry further oh...entangled strands all sing
    Saving some time to slip away we could dance oh..

    Shouldn't be asking wild and scheming
    Could be my election day

    Stretching my back down the way
    To your invitation stretching my body
    Use your intuitive play
    cause maybe we have more play time than money

    Maximum big suprise you know something new
    I pull my shirt off and pray, we're sacred and bound to suffer this heatwave
    Pull my shirt off and pray we're coming up on re-election day

    Re-election day

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  • If you want me you can find me
    Left of center off of the strip
    In the outskirts and in the fringes
    In the corner out of the grip

    If you want me you can find me
    Left of center off of the strip
    In the outskirts and in the fringes
    In the corner out of the grip

    When they ask me, "What are you looking at?"
    I always answer, "Nothing much, not much"
    I think they know that, I'm looking at them
    I think they think I must be out of touch

    But I'm only in the outskirts and in the fringes
    On the edge and off the avenue
    And if you want me you can find me
    Left of center wondering about you

    I think that somehow, somewhere inside of us
    We must be similar if not the same
    So I continue to be wanting you
    Left of center against the grain

    And if you want me you can find me
    Left of center off of the strip
    In the outskirts and in the fringes
    In the corner out of the grip

    And when they ask me, "What are you looking at?"
    I always answer, "Nothing much, not much"
    I think they know that, I'm looking at them
    I think they think I must be out of touch

    But I'm only in the outskirts and in the fringes
    On the edge and off the avenue
    And if you want me you can find me
    Left of center wondering about you

    If you want me you can find me
    Left of center wondering about you
    If you want me you can find me
    Left of center wondering about you
    Wondering about you, wondering about you

    If you want me you can find me
    Left of center wondering about you
    If you want me you can find me
    Left of center wondering about you
    Wondering about you, wondering about you

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  • Jam - Funeral Pyre - 1981

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  • MUSIQUE - Face à la demande accrue pour leur show commun, les deux chanteurs ajoutent une date hexagonale à leur agenda de tournée "On Stage Together".

    Il fallait s'y attendre. Au vu du succès de leur tournée commune, Sting et Paul Simon viennent d'ajouter une date française à leur agenda. Il ne joueront plus une, mais deux soirées au Zénith de Paris : les 3 et 4 avril 2015. Les billets pour cette seconde date seront en vente le 24 octobre à partir de 10 heures. Sting, chanteur de Police, et Paul Simon, moitié du duo Simon & Garfunkel, ont décidé de sillonner les routes ensemble. Intitulée "On Stage Together", cette série de concerts a été imaginé lors d'un concert de charité donné en 2013. Les deux amis y ont joué en duo pour la première fois et ont décidé de réitérer. Ils interpréteront des morceaux issus de leurs répertoires, à deux voix ou en solo, dont notamment "Boy In The Bubble", "Fields of Gold", "Driven To Tears", "Mother & Child Reunion", "Desert Rose", "Every Breath You Take", "The Boxer" et "Diamonds On The Soles of Her Shoes".

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  • MUSIQUE - Le son électronique et planant du duo Flight Facilities a séduit Kylie Minogue. La popstar a accepté de donner un coup de pouce à ses compatriotes en posant sa voix sur le single "Crave You".

    Vendredi 24 octobre, le duo australien Flight Facilities publiera son tout premier album, baptisé "Down to Earth". Les auditeurs les plus curieux en ont déjà peut-être entendu quelques extraits, dont "Stand Still", un titre dévoilé il y a près d'un an et partagé avec Micky Green. Ont également été publiés successivement les titres "Clair de lune" (featuring Christine Hoberg) et "Crave You", sorti en 2010 et enregistré avec Giselle Rosselli.

    Cette semaine, c'est une autre version de "Crave You" qui fait l'actualité. Même si l'original figurera sur l'album "Down to Earth", les deux DJ Hugo Gruzman et James Lyell tentent de créer le buzz avec Kylie Minogue. C'est bel et bien leur compatriote qui apparaît dans un teaser long annonçant la sortie d'une nouvelle version du titre "Crave You". Dans cette vidéo, l'interprète de "Get Outta My Way" semble totalement désorientée, les yeux noirs, à peine coiffée et portant un t-shirt long s'arrêtant en dessous du bassin. Une scène stupéfiante !

    Ce titre figurera également sur l'album "Down to Earth" de Flight Facilities. Ce n'est pas la première fois que la chanteuse australienne accepte de poser sa voix sur le premier album d'un groupe en devenir. Il y a quatre ans, Kylie Minogue avait effectivement partagé le titre "Devotion" avec Theo Hutchcraft, chanteur du groupe anglais Hurts. Mais, pour l'heure, elle se concentre surtout sur sa nouvelle tournée : le "Kiss Me Once Tour". La chanteuse était d'ailleurs de passage à Montpellier la semaine dernière. Elle se produira également au Zénith Arena de Lille le 5 novembre, puis au Palais Omnisports de Paris-Bercy le 15. L'occasion de réentendre ses plus grands tubes ainsi que les titres de son dernier opus "Kiss Me One", parmi lesquels "Into the Blue", "Sexercize" et "I Was Gonna Cancel".

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  • Luxuria - Public Highway - 1988

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  • MUSIQUE - Madonna et Britney Spears ont étonné la planète entière en s’embrassant lors de leur performance au Vidéo Music Awards en 2003. Larry Rudolf, manager de Britney Spears raconte les coulisses de ce moment désormais mythique.

    Britney Spears a toujours confié son inspiration pour Madonna.  La star l’adulait et ne demandait qu’une seule chose : la rencontrer et lui prouver de quoi elle était capable.

    Lorsque ce moment arriva, la jeune femme était aux anges, surtout que Madonna a très vite appréciée son style de musique proche du sien. Les deux ne se sont plus quittées et ont même décidé de faire ensemble une prestation pour les Vidéos Music Awards en 2003.

    Lors de cet événement, Missy Elliot, Christina Aguilera et Britney Spears rendaient hommage à Madonna. Un hommage qui a touché la chanteuse mais elle avait une idée derrière la tête : embrasser Britney Spears.

    Pourquoi cela ? Madonna a toujours été une icône gay, elle a donc voulu rendre hommage à ses plus grands fans. Elle voulait de cette manière faire en sorte que sa communauté de fans apprécie aussi sa petite protégée Britney Spears qui est devenue après cela égérie de la communauté LGBT.

    Larry Rudolf, manager de Britney Spears depuis toujours, livre les coulisses de ce moment invraisemblable au magazine Billboard : « Après le bisous, le monde a explosé ».

    Il raconte comment Madonna a coaché Britney Spears de manière à ce que la performance soit absolument parfaite : « Madonna a été vraiment rigide sur les répétitions. Elle n’arrêtait pas de lui dire tous les jours « soit là à 10 heure du matin. Elle ne m’appelait jamais par mon nom et me disait juste « toi, fait en sorte que Britney soit là à 10 h pile ». Je ne voulais pas énerver la plus grande star de tous les temps ».

    Après le show, Madonna a félicité le manager de Britney dans l’ascenseur tout en lui montrant qu’elle se souvenait parfaitement de son nom : « Elle m’a pris dans ses bras, m’a donné un énorme bisous et a dit «  Tu vois Larry, ça valait vraiment le coup ».

    Nous ne savons toujours pas si le bisou était prémédité ou non, Britney Spears a toujours affirmé qu’il ne l’était pas cependant comme le reste du show a été répété des dizaines de fois, on peut s’imaginer que le bisou l’était aussi…

    Dans tous les cas, la scène est toujours mythique et on peut, plus de dix ans après, trouver de nombreux produits dérivés aux couleurs de ce baiser.

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  • Talking Heads - And She Was - 1985

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  • MUSIQUE - Les Clash, le groupe punk qui jouait à guichets fermés dans les années 1980, était en train de se désintégrer quand son leader charismatique, Joe Strummer, hantait incognito les bars en Espagne, comme le montre un nouveau documentaire.

    Le cinéaste Nick Hall a suivi le séjour espagnol de plusieurs mois de la légende du punk, dans un documentaire présenté samedi en avant-première à New York, où se déroule le troisième festival CBGB. 

    Ce festival, du nom d'un club punk célèbre et aujourd'hui disparu, propose une dizaine de films et quelque 200 concerts culminant dans un concert gratuit dimanche sur Times Square.

    Selon Nick Hall, Joe Strummer s'est rendu en Espagne attiré par la Movida, ce mouvement de contre-culture qui a suivi la mort du dictateur Francisco Franco en 1975.

    Il y a séjourné à plusieurs reprises et a même cherché à découvrir la tombe du poète Federico Garcia Lorca, assassiné sous la dictature en Andalousie.

    Le documentaire reprend l'extrait d'un entretien accordé à un journaliste local, dans lequel le musicien explique dans un espagnol rudimentaire qu'il est venu en Espagne pour "muchas razones" ("pour de nombreuses raisons"). "Je suis obsédé par l'Andalousie", dit-il.

    Strummer, qui avait découvert l'Espagne par l'intermédiaire d'une petite amie espagnole, trouvait alors "déprimante" l'ambiance au Royaume-Uni, où la conservatrice Margaret Thatcher venait de rempiler comme Premier ministre.

    Une histoire de Dodge.

    Le film s'appelle "J'ai besoin d'une Dodge : Joe Strummer en cavale". ("I need a Dodge : Joe Strummer on the run").

    Le titre vient d'une anecdote survenue quelques années avant la mort du chanteur en 2002. Interrogé par la radio espagnole Radio 3 lors du festival britannique de musique de Glastonbury, Strummer demande à plusieurs reprises si quelqu'un a vu sa voiture, un véhicule de la marque américaine Dodge.

    Des membres du groupe Radio Futura, un groupe espagnol très célèbre à l'époque, racontent dans le film que Strummer avait demandé leur aide pour en acheter une.

    Le film part donc à la recherche de la Dodge, que Strummer a apparemment laissé dans un garage espagnol avant de rentrer brusquement en Angleterre en janvier 1986 quand sa petite amie d'alors, Gaby Salter, a donné naissance à leur seconde fille.

    Pendant son séjour espagnol, Strummer avait produit un album du groupe 091 appelé "Mas de Cien Lobos" ("Plus de 100 loups") sous un label espagnol.

    Après des pétitions de fans, la ville de Grenade, dans le sud de l'Espagne, a donné l'an dernier le nom du leader des Clash à l'une de ses places.

    Nick Hall a passé quatre ans à travailler sur son documentaire, qu'il a composé comme il l'aurait fait d'une fiction, dit-il. "J'avais dans l'idée l'histoire d'un chanteur anglais qui ressemblerait à ces voyageurs du XIXe siècle", raconte le cinéaste.

    Coïncidence, le festival a également dévoilé un film, "Living is easy with eyes closed" ("La vie est facile avec les yeux fermés") qui raconte un voyage en Espagne, en 1966, de John Lennon. 

    Ce film, choisi par l'Espagne pour participer aux Oscars dans la catégorie meilleur film étranger, met en scène un instituteur, joué par Javier Camara, obsédé par les Beatles et qui veut rencontrer John Lennon.

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  • Sandra - Midnight Man - 1987

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  • Ric Ocasek - Something To Grab For - 1982

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  • Hopes dashed to the floor like shattered teenage dreams
    Boys living next door are never what they seem
    A walk in the park can become a bad dream
    People are staring and following me
    This is my only escape from it all
    Watching a film or a face on the wall

    Robert DeNiro's waiting, talking Italian
    Robert DeNiro's waiting, talking Italian
    Robert DeNiro's waiting, talking Italian
    Robert DeNiro's waiting

    I don't need a boy, I've got a man of steel
    Don't come any closer, I don't wanna feel
    Ooh, you're breathing, you're touching, but nothing's for free
    I never want this to happen to me
    Don't try to change me you're wasting your time
    Now I've got something much better in mind

    Robert DeNiro's waiting, talking Italian
    Robert DeNiro's waiting, talking Italian
    Robert DeNiro's waiting, talking Italian
    Robert DeNiro's waiting

    Talk, talk, talk, talk, talk, talk, talking
    Talk, talk, talk, talk, talk, talk, talking

    A walk in the park can become a bad dream
    People are staring and following me
    This is my only escape from it all
    Watching a film or a face on the wall

    Robert DeNiro's waiting, talking Italian
    Robert DeNiro's waiting, talking Italian
    Robert DeNiro's waiting, talking Italian
    Robert DeNiro's waiting, talking Italian
    Talking Italian, talking Italian

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  • I got it bad, you don't know how bad I got it
    You got it easy, you don't know when you've got it good
    It's getting harder, just keeping life and soul together
    I'm sick of fighting, even though I know I should

    The cold is biting
    Through each and every nerve and fiber
    My broken spirit is frozen to the core
    I don't want to be here no more

    Wouldn't it be good to be in your shoes
    Even if it was for just one day
    And wouldn't it be good
    If we could wish ourselves away

    Wouldn't it be good to be on your side
    The grass is always greener over there
    And wouldn't it be good
    If we could live without a care

    You must be joking, you don't know a thing about it
    You've got no problems, I'd stay right there if I were you
    I got it harder, you couldn't dream how hard I got it
    Stay out of my shoes if you know what's good for you

    The heat is stifling
    Burning me up from the inside
    The sweat is coming through each and every pore

    I don't want to be here no more
    I don't want to be here no more
    I don't want to be here no more

    Wouldn't it be good to be in your shoes
    Even if it was for just one day
    And wouldn't it be good
    If we could wish ourselves away

    Wouldn't it be good to be on your side
    The grass is always greener over there
    And wouldn't it be good
    If we could live without a care

    I got it bad, you don't know how bad I got it
    You got it easy, you don't know when you've got it good
    It's getting harder, just keeping life and soul together
    I'm sick of fighting, even though I know I should

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  • MUSIQUE - Difficile d’imaginer Bono sans ses célèbres lunettes roses, bleues, ou jaunes. Si le chanteur en porte une paire en permanence, c’est qu’il a une bonne raison…

    On pourrait croire à une petite coquetterie, mais non, les lunettes de Bono ne sont pas là que pour apporter un peu de style à son look. Le leader de U2 vient de révéler lors d’une interview accordée au Graham Norton Show, sur la chaine BBC One, qu’il n’avait pas trop le choix. « C’est le bon moment pour expliquer aux gens que je souffre d’un glaucome depuis une vingtaine d’années. Je suis un traitement efficace et ça va aller… »

    Cette maladie dégénérative est due à une pression élevée dans l’œil qui comprime et endommage le nerf optique. Elle peut entraîner la cécité totale. Ce dont s’est d’ailleurs amusé Bono : « Vous n’allez pas pouvoir vous sortir ça de la tête maintenant et vous allez vous dire "Oh ce pauvre vieux Bono, aveugle" ! »

    Le chanteur de U2 a expliqué que sa maladie le rendait très sensible à la lumière, ce qui expliquait qu’il soit obligé de porter des lunettes teintées, même à l’intérieur.

    Bono en a profité pour revenir encore une fois sur le coup marketing organisé avec Apple autour de leur dernier album Songs of innocence, téléchargé automatiquement sur plus de 500 millions d’appareils possédant iTunes. « Nous avons voulu faire quelque chose de nouveau, a-t-il expliqué, mais il semblerait que certaines personnes ne croient plus au Père Noël. »

    « Tous ces gens qui étaient indifférents envers U2 sont maintenant furieux contre U2. Nous concernant, c’est une amélioration », a-t-il conclu, moqueur.

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  • Jane Aire And The Belvederes - Yankee Wheels - 1978

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  • MUSIQUE - L’exploitation des œuvres de Michael Jackson, mort en 2011, a généré plus de 140 millions de dollars en un an.

    Comme en 2013, et en 2011, Michael Jackson est en tête du classement des artistes ayant généré le plus de revenus grâce à l'exploitation de leurs œuvres. Le classement, établi par le magazine Forbes, estime à 140 millions de dollars (110 millions d'euros) la fortune amassée sur les douze derniers mois par les ayants droit des œuvres de Michael Jackson.

    Le second est loin derrière feu le Roi de la pop. Il s'agit d'Elvis Presley avec 55 millions de dollars (43 millions d'euros) générés. Charles Schulz, dessinateur de Snoopy (Peanuts), complète le podium avec 40 millions de dollars (31 millions d'euros).

    Bob Marley et John Lennon vendent encore.

    Disparu en 2011, Michael Jackson avait déjà pris la tête de ce classement l'année de sa mort, puis à nouveau en 2013. En 2012, c'est sa grande amie Elizabeth Taylor, morte l'année d'avant, qui avait régné sur le classement. Ces douze derniers mois, elle a tout de même fait gagner 25 millions à ses ayants droit et est encore quatrième du classement.

    Tout comme Elvis Presley, disparu en 1977, Bob Marley continue à générer 20 millions de dollars trente-trois ans après sa mort. Tout comme John Lennon, assassiné en 1980, et qui a généré 13 millions de dollars.

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  • Aztec Camera - Oblivious - 1983

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  • MUSIQUE - Mardi 14 octobre, Lourdes Leon, la fille aînée de Madonna célébrait son 18e anniversaire. La jeune fille vient de faire sa rentrée à l'Université du Michigan. Le DailyMail nous faisait découvrir hier le confort plutôt sommaire de sa chambre d'étudiante. Avant de pouvoir organiser, on l'imagine, une fête digne de ce nom pour l'anniversaire de son aînée, Madonna lui a rendu hommage sur Instagram.

    La Queen of Pop a publié deux adorables photos de Lourdes enfant. "Joyeux anniversaire ma belle ! Je t'aime pour toujours", a écrit Madonna en espagnol sous la première. "La vie continue sans jamais cesser de nous surprendre...", en anglais, sous la deuxième. Ces deux photos nous montrent Lourdes, peut-être âgée de 2 ou 3 ans, absolument adorable avec sa petite tresse et sa fleur dessinée sur la joue. Depuis, elle est devenue une jolie jeune femme, branchée, diplômée d'une prestigieuse école new-yorkaise (celle qui a inspiré la série Fame) et une étudiante studieuse presque comme toutes les autres : Lourdes dirige aussi la ligne de prêt-à-porter Material Girl avec sa mère.

    Lourdes Leon est née le 14 octobre 1996. Madonna et son père, Carlos Leon, se sont séparés quelques mois plus tard mais restent en bons termes. Il n'est pas rare de voir la jeune fille en compagnie de son padre. Juste avant sa naissance, Madonna bouclait le tournage de la comédie musicale Evita pour laquelle elle a pris d'intensifs cours de chant. En 1997, la star découvre la Kabbale. L'album Ray of Light sorti en février 1998, celui de sa renaissance artistique, sera très influencé par ces trois événements majeures : l'exploration de sa voix, sa recherche de spiritualité et, bien sûr, la naissance de sa fille.

    Des années plus tard, Lourdes aura enfin des petits frères et soeurs. D'abord Rocco, né le 11 août 2000 dont le papa est le réalisateur britannique Guy Ritchie. Passionné de sports extrêmes et de danse, le jeune garçon a même participé comme danseur à la tournée de maman en 2012. Lourdes, elle, gérait chaque soir la garde-robe de la troupe. Après son divorce, Madonna a eu un coup de coeur pour le Malawi où elle adopté les petits David (9 ans) et Mercy (8 ans). Sur les réseaux sociaux, on les voit beaucoup danser, jouer de la musique ou faire de l'équitation. Avec une maman pareille, comment pourrait-il en être autrement ?

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  • You might know of the original sin
    And you might know how to play with fire
    But did you know of the murder committed
    In the name of love, yeah, you thought what a pity

    Dream on white boy, white boy
    Dream on black girl, black girl
    And wake up to a brand new day
    To find your dreams have washed away

    There was a time when I did not care
    And there was a time when the facts did stare
    There is a dream and it's held by many
    Well, I'm sure you had to see, it's open arms

    Dream on white boy, white boy
    Dream on black girl, black girl
    And wake up to a brand new day

    Dream on white boy, white boy
    Dream on black girl, black girl
    And wake up to a brand new day
    To find your dreams have washed away

    Dream on white boy, white boy
    Dream on black girl, black girl
    And wake up to a brand new day
    To find your dreams have washed away

    Dream on, play with fire
    White boy, black girl
    Dream on, in the name of love
    Black boy, white girl

    Dream on, white boy, black girl
    Black boy, white girl

    Dream on, the name of love, yeah
    You thought what a pity
    Original sin

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  • MUSIQUE - Depeche Mode est de retour ! Pas avec un nouvel album, le dernier étant sorti il y a tout juste un an et demi, mais aevc un coffret live retraçant l'époqée de sa dernière tournée "Delta Machine". Rendez-vous dans les bacs le 17 novembre !

    Depeche Mode gâte ses fans. Le groupe britannique publiera le 17 novembre le CD/DVD live de sa dernière tournée, le "Live in Berlin", enregistré à l'O2 World de Berlin les 25 et 27 novembre 2013. Au menu de ce coffret : deux CD incluant tous les titres chantés sur scène lors de ses deux concerts et un DVD réalisé sous la houlette de Anton Corbijn, un fidèle collaborateur de la bande de Dave Gahan, connu pour avoir signé plusieurs de ses clips et d'autres pour U2. Parmi les titres que le public sera ravi de réentendre sur ce live, les tubes "Personal Jesus" et "Policy of Truth", mais aussi et surtout les chansons du dernier album "Delta Machine" du groupe (2013), dont "Heaven" et "Soothe My Soul". Et pour les fans purs et durs, une édition deluxe bourrée de bonus verra le jour à la même date.

    Le collector comprendra un second DVD baptisé "Alive in Berlin", ponctué par des images backstages, des interviews avec les membres du groupe et leurs fans, ainsi qu'une session acoustique filmée au Salon Bel Ami, qui n'est rien de moins que la plus vieille maison close existante dans la capitale allemande. « "Alive in Berlin" est un film sur Depeche Mode visitant Berlin pour deux concerts et l'impact que ceux-ci ont sur leurs fans » explique Anton Corbijn dans un communiqué du label Columbia (Sony Music). A noter par ailleurs que le coffret deluxe comportera également l'album "Delta Machine" mixé en 5.1 sur un CD Blu-Ray. Autant dire que tout a été pensé pour que le public puisse conserver le souvenir impérissable du "Delta Machine Tour", qui a attiré 2,4 millions de personnes dans pas moins de 32 pays.

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