• Un hommage en chanson plus qu'émouvant. Six ans après son dernier album studio intitulé Plusieurs Lunes,Véronique Sanson est à nouveau dans les bacs. L'Amoureuse signe son grand retour et s'apprête à publier, le 4 novembre prochain, un nouvel album riche et électrique mené par un premier single absolument poignant dont elle a dévoilé le vidéo-clip sur Youtube, au début du mois.

    Dans Je l'appelle encore, la chanteuse âgée de 67 ans rend hommage à sa regretté maman. Bouleversante, assise à son piano, elle nous fait voyager de sa voix toujours si particulière entre les portraits de sa maman disparue, qui lui aura apporté force et courage tout au long de sa vie. Les sonorités mélancoliques et les paroles sinueuses ne sont pas sans rappeler celles de ses plus grands succès. De quoi faire le bonheur de ses fans de la première heure.

    Indestructible qu'importe le temps qui passe, Véronique promet d'aborder différents thèmes dans son prochain opus intitulé Dignes, Dingues, Donc,... mais le sujet principal restera, encore et toujours, l'amour. L'amour, un thème de prédilection qu'elle a si bien su sublimer à travers les années, depuis ses premiers succès avec Michel Berger jusqu'au controversé Moi Le Venin, sans oublier les splendides Années Américaines que son histoire d'amour passionnée avec Stephen Stills auront inspirées.

    Après avoir parcouru les routes de France dans le cadre de sa tournée l'an passé, Véronique Sanson, toujours aussi rock'n'roll en témoigne la pochette de son nouveau disque, nous prouve une fois de plus qu'elle est loin, très loin, de Tirer Sa Révérence.

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  • Oubliés ses ennuis de santé ! Jane, très en forme, a fait sensation au Palais Garnier.

    Elle a traversé des épreuves, connu de gros ennuis de santé, mais comme on a pu l’observer lors du dernier festival de Cannes, en mai dernier, Jane Birkin va beaucoup mieux !Très élégante dans un costume masculin/féminin, Jane a assisté au prestigieux Gala d’ouverture de la saison 2016-2017 de l’Opéra National de Paris. Pour accueillir les six cents invités VIP et les généreux donateurs qui soutiennent l’institution – parmi lesquels Dior Parfums et Rolex- le Palais Garnier brillait de mille feux avec son  grand escalier croulant sous des milliers de fleurs exotiques. Après avoir assisté au traditionnel défilé des Etoiles, Premiers danseurs, Corps de ballet et élèves de l’Ecole de danse, Jane Birkin a applaudi à tout rompre la troupe de danseurs, particulièrement éblouissante dans le  ballet Blake Works I  du génial William Forsythe. Ensuite, Jane Birkin s’est rendue dans les foyers pour un  délicieux dîner, présidé par Stéphane Lissner, directeur de l’Opéra National de Paris et Aurélie Dupont, étoile fraîchement nommée au poste de directrice de la danse, à la suite de Benjamin Millepied. Parmi les invités de marque, Christine and The Queens, Etienne Daho, Stéphane Bern, Claire Chazal, Caroline Roux, le top Eva Herzigova, les acteurs Laurent Lafitte, Elsa Zylberstein, Ana Girardot, Ralph Fiennes, Soko, le créateur de mode Alexis Mabille…

    Tous se souviendront longtemps de cette nuit d'exception, rappelant les fastes du XIXème siècle !

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  • C'est un véritable trésor. Les œuvres d'art acquises par David Bowie ont été présentées ce lundi à New York, une collection qui inclut des joyaux signés Jean-Michel Basquiat ou Damien Hirst et qui sera bientôt mise aux enchères.

    Le chanteur britannique, mort d'un cancer en janvier à l'âge de 69 ans, "avait comme collectionneur la même attitude qu'avec la musique, il n'avait pas peur de regarder hors des sentiers battus", a expliqué Simon Hucker, spécialiste d'art moderne et post-moderne britannique chez Sotheby's, organisateur de la vente aux enchères prévue pour les 10 et 11 novembre.

    Un collectionneur très discret 

    En tant que contributeur au magazine Modern Painters dans les années 1990, Bowie, déjà devenu une icône du rock, "interviewait des artistes qu'il trouvait bons, mais dans l'ensemble il était très discret sur ses activités de collectionneur", explique le spécialiste.

    Près de la moitié de la collection Bowie est constituée d'oeuvres de certains des artistes britanniques les plus réputés du 20e siècle, comme Damien Hirst, Frank Auerbach et Graham Sutherland. Parmi les quelque 350 oeuvres présentées, l'une des perles est le tableau "Air Power" (1984) de l'artiste new-yorkais Jean-Michel Basquiat, devenu célèbre après sa mort par overdose en 1988 à 27 ans. Il a été estimé entre 3,3 et 4,6 millions de dollars. 

    Un porte-parole de Sotheby's assurait par ailleurs que la vente pourrait atteindre 12 millions d'euros. En juillet dernier, la BBC dévoilait un avant-goût des œuvres.

    Il y a aussi une toile circulaire aux airs de kaléidoscope co-signée Hirst/Bowie et intitulée "Beautiful, hallo space-boy", en référence au personnage de l'astronaute Major Tom créé par David Bowie.

    La collection comprend aussi des pièces du créateur italien Ettore Sottsass et de son Memphis Group, qui ont introduit des éléments du pop-art dans le mobilier de bureau. La collection doit ensuite être présentée à Londres, Los Angeles et Hong Kong.

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  • Lors d'une virée en moto aux Etats-Unis, Johnny Hallyday a adopté une petite chienne, abandonnée sur le bord de la route.

    La famille Hallyday s’agrandit : Johnny a craqué pour une jolie boule de poils blanche et noire. Comme il l’explique sur son compte Instagram, le chanteur a décidé d’adopter une chienne, trouvée sur le bord de la route. Il a publié une photo et écrit en légende : «J’ai adopté cette petite chienne abandonnée sur la route. Je l'ai appelée Cheyenne.» Il ajoute un smiley avec des coeurs à la place des yeux, Johnny est un rockeur au coeur tendre. L’interprète de «Allumer le feu» a trouvé la jolie Cheyenne aux Etats-Unis, qu’il a traversé en moto, de la Nouvelle-Orleans à Los Angeles.

    En effet, pendant une semaine, Johnny Hallyday, bandana sur la tête, a sillonné les routes américaines sur son bolide, avec ses amis, dont le chanteur Yodelice, le photographe Dimitri Coste ou encore son pote de toujours, Claude Bouillon. La bande de motards a emprunté la route Dixie, légendaire route du film «Easy Rider», pour un road trip jusqu’à Los Angeles. En passant par le Texas, le Nouveau-Mexique ou encore l’Utah. Johnny a immortalisé son voyage sur Instagram, avec des photos devant Monument Valley, dans un saloon à San Antonio ou encore avec des selfies avec ses potes. Il a plaisanté : «Vieux motards que jamais».

    Johnny Hallyday a été rejoint par sa femme, Laeticia, et ses deux filles, Jade et Joy, à Santa Fe. Une surprise qui a ravi le chanteur. Toutes les trois ont ainsi suivi de près le chanteur sur plusieurs kilomètres dans une Chevrolet bleue et Laeticia Hallyday a découvert son côté cow boy. Sur Instagram, elle décrit la bande de motards comme «ses badasses préférés», fière du parcours de son mari et ses amis. 

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  • À l’occasion de la sortie de son best-of en 3 CD, Dorothée a évoqué l’émotion et les larmes lors de l’enregistrement de son dernier Club Dorothée en 1997.

    Août 1997. Après quelques mois à voir ses audiences baisser et les échecs commerciaux de ses deux albums (Bonheur city et La honte de la famille), Dorothée se voyait remerciée par TF1 après dix ans de bons et loyaux services à la tête des émissions jeunesse de la première chaîne d’Europe. Un camouflet que l’artiste tentait - à l’époque - de relativiser en se lançant dans de multiples projets tels que l’écriture d’un film, d’une pièce de théâtre (avec Jean Amadou) ou encore la création d’une chaîne à son nom : Dorothée Channel. Autant d’axes qui n’aboutiront jamais, laissant la star des ados sur le carreau…

    Ses adieux au Club Dorothée, l’animatrice et chanteuse vient de les évoquer dans les colonnes du JDD.  Si elle ne s’explique toujours pas les raisons pour lesquelles TF1 avait dit stop, elle n’en oublie pas pour autant l’émotion ressentie lors de la dernière journée de tournage. « La coupure a été brutale, raconte Dorothée. C’est loin maintenant… Mais je me souviens qu’on avait tous la gorge serrée lors de la dernière émission. J’essayais de ne pas pleurer mais on a tous fini en larmes. » Qu’importent ses « journées de 35h » à travailler, les attaques de Ségolène Royal et autres critiques de certains parents… Dorothée aimait ce qu’elle faisait et les enfants le lui rendaient bien (au top de sa gloire, son émission rassemblait près de 60% de parts de marché). De cette période bénie, Dorothée n’a rien gardé. « Tout a fini dans un dégât des eaux », précise-t-elle. Restent ses tubes, qu’elle vient de ressortir dans une compilation sur 3 CD. Revenir à la télévision ? Elle ne serait pas contre… La semaine dernière, sur le plateau de Touche pas à mon poste, Cyril Hanouna lui a proposé un boulot. Elle a répondu : « Pourquoi pas ! » 

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  • Céline Dion déjà embarquée dans une nouvelle histoire d’amour ? Pas si vite !

    Céline Dion a montré que les épreuves qu’elle a traversées n’ont pas atteint son moral ni son humour ! 

    Céline Dion était l’invitée d’un célèbre Youtubeur américain, Tyler Oakley, dont la chaîne Youtube regroupe plus de huit millions d’abonnés. 

    La chanteuse originaire de la province du Québec s’est prétée de bonnes grâces au jeu des questions-réponses avec l’animateur âgé de 27 ans, ouvertement homosexuel. Alors que l’interview suivait son cours, la chanteuse a alors posé la question à son interlocuteur s’il avait déjà eu l’occasion d’embrasser une femme dans sa vie. 

    " J’ai essayé une fois, mais cela n’était pas pour moi " a alors avoué Tyler Oakley. 

    Manifestement soucieuse de ne pas laisser le jeune homme sur cette impression désagréable, la chanteuse a alors proposé à l’animateur d’essayer de nouveau. Elle s’est alors approchée de lui et lui a adressé un petit baiser ! 

    Manifestement ravi de son coup, le jeune homme a esquissé un grand sourire alors que la chanteuse a adressé un petit message à son René, non sans humour ! 

    " Désolé, tout est ok, René. Je ne te trompais pas, tout cela était totalement spontané " a-t-elle expliqué à son défunt mari, mimant un appel téléphonique, avec une coquille Saint-Jacques en plastique faisant office de combiné ! 

    Si le Youtubeur peut être ravi du coup de projecteur sur son émission, Céline Dion a elle aussi reussi son petit buzz !

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  • Interrogé par le JDD qui lui demandait la différence entre un chef d'état et un politicien, le chanteur Bernard Lavilliers n'a pas pu s'empêcher de formuler un tacle en direction de l'actuel président de la République François Hollande : "Hollande ne devrait pas se représenter, ce serait élégant de sa part. Je trouve un peu désolant de le voir s'activer pour essayer de rattraper en six mois cinq ans d'inaction... Quand je pense à lui me reviennent les paroles de ma chanson Utopia : 'La petite gauche vivotait, frileuse comme une alouette." a déclaré le chanteur, visiblement très déçu de la politique menée en France depuis bientôt cinq ans.

    Pour autant, il reconnaît une qualité au chef de l'Etat : "C'est un homme cultivé. Il connaît par cœur les quatre premières strophes de La Mémoire et la Mer, de Léo Ferré." Et un peu plus loin, le chanteur confie avoir un faible pour Jean-Luc Mélenchon, et ne cache pas que c'est pour le candidat marqué très gauche qu'il votera en 2017.

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  • Dans une interview à "Sud-Ouest", le chanteur Michel Sardou a donné son avis sur l'élection présidentielle de 2017. Et ça décoiffe...

    Interrogée par "Sud-Ouest", Michel Sardou, qui est maintenant habitué aux polémiques, a eu des mots très durs sur la vie politique française et la prochaine présidentielle qui aura lieu en mai 2017 : "Je m'en fous ! Je me suis fixé comme ligne de barrer d'une croix rouge le nom de tous ceux qui promettront des trucs comme une baisse du chômage ou des impôts, le sauvetage de telle ou telle entreprise... À mon avis, à l'arrivée, il ne restera personne, et je m'abstiendrai" s'est emporté le chanteur, laissant entendre qu'il ne voterait pas...

    Michel Sardou a ensuite expliqué qu'il était révolté par les impôts qui ne cessent de croître : "J'écoute de moins en moins les hommes politiques et je ne les crois plus. On vote une loi pour annuler la précédente, on vous baisse un impôt d'une main pour vous piquer le pognon de l'autre parce qu'il faut bien remplir les caisses..." a-t-il ajouté.

    Mais si - scénario improbable -  Jacques Chirac s'était présenté, c'est bien évidemment pour lui qu'il aurait voté ! Car les deux hommes sont très amis. Entre l'artiste et le politique, c'est une histoire d'amitié qui a commencé au début des années 1990. Jacques Chirac se trouvait alors en difficulté, pendant sa campagne contre le favori des sondages Edouard Balladur : "À l'époque, il se présentait contre Balladur et j'étais persuadé qu'il allait l'emporter, alors que tout le monde l'enterrait", avait déclaré il y a quelques jours le chanteur au micro d'Europe 1.

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  • Emmanuelle Béart le confie volontiers, la mort de son père, le chanteur Guy Béart, il y a un an, a été pour elle une épreuve initiatique. Elle estime avoir changé, être devenue adulte. C'est sans doute parce que l'actrice se replonge dans la vie et l'oeuvre de son père qu'elle a le sentiment d'être transformée. Avec sa soeur Eve, elle a récemment passé du temps à trier les archives familiales, et a publié sur Instagram, une série de photos touchantes.

    Il y a presque un an, le 16 septembre 2015, Guy Béart disparaissait à l'âge de 85 ans. Si pour tous les fans du chanteur de l'eau vive, cette annonce a été synonyme d'hommages, pour les membres de sa famille, sa fille Emmanuelle Béart en tête, cela a été le début d'un chagrin indéfinissable. 

    L'actrice a en effet beaucoup de mal à faire le deuil de son père. Elle ne s'en est jamais caché. Au micro de RTL, en juin dernier, Emmanuelle Béart disait ne pas s'en remettre.

    "On fait avec. Il est parti. Il a laissé un patri­moine artis­tique abso­lu­ment magni­fique. Quelques fois, ça pèse lourd. Quelques fois, c’est un trésor. Et puis on est encore – il faut le dire – dans une phase de deuil. On ne veut pas le trahir."

    Alors comme bon nombre de personnes confrontées à la disparition d'un être cher, Emmanuelle Béart semble avoir choisi de se replonger dans la vie de son père pour tenter, in fine, de sortir de cette phase de deuil. Un moment intime, qui lui a enlevé, selon ses dires, sa part d'enfance, comme elle le confiait en octobre dernier. 

    Cette plongée dans la vie et l'oeuvre de Guy Béart n'est pas terminée. Dans une série de photos publiée sur Instagram, elle montre à quoi ressemble cette traversée. Avec sa soeur Eve à ses côtés, elle étudie les textes de chansons, et les partitions de son père. Des grandes boîtes à ouvrir, à trier. Des fous rires, des moments d'immense tristesse. Un moment important, semble-t-il, pour les deux soeurs, ensemble face à ce joyeux "désordre" laissé par l'artiste à sa famille.

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  • Renaud ne triche jamais, et quand il aime, il le clame à qui veut bien l'entendre. La preuve ce matin, dans l'émission Thé ou café, sur France 2. Invité de Catherine Ceylac, il s'est confié sur ses amours. "Je tombe amoureux tous les jours" rigole-t-il, avant de déclarer sa flamme à l'actrice Virginie Efira, à l'affiche du film Victoria.

    Renaud est Toujours debout, on le savait depuis la sortie de son dernier album en avril dernier. Ce que l'on sait moins, c'est que le chanteur actuellement célibataire n'a pas dit laisse béton à l'amour. Au contraire, Renaud est un éternel amoureux, n'en déplaise à Dominique, la mère de sa fille Lolita, celle qu'il considère comme la femme de sa vie.

    Le chanteur était l'invité de Catherine Ceylac, dans l'émission Thé ou café sur France 2 ce samedi matin. Dans cette émission où les vedettes confient leurs secrets bien volontiers, Renaud a joué le jeu. D'une voix douce, mais audible, Renaud a répondu aux questions les plus personnelles. Et lorsque Catherine Ceylac lui demande de manière très simple, après ses échecs amoureux, s'il "croit encore à l'amour", l'auteur de la chanson préférée des français, Mistral gagnant, répond sans tabous. "Je tombe amoureux tous les jours".

    C'est à ce moment précis que son visage s'éclaire. Il poursuit, tout naturellement :

    "La dernière fois, c'était en allant au cinéma voir Victoria, ce chef d'oeuvre avec Virginie Efira. Je suis sorti de là fou amoureux de cette jeune fille". 

    Renaud se tourne vers la caméra, et envoie alors un baiser à l'actrice belge à travers l'écran. "Elle m'a bouleversé". C'est alors que la discussion tourne autour de cet amour sincère que décrit Renaud. Lui, le chanteur connu de tous les français se révèle être un fan touchant, un homme capable d'aimer à tout instant, et prêt à tout pour se rapprocher des personnes qu'il affectionne.

    "Les actrices, je tombe amou­reux tout le temps. J'essaie de les rencon­trer. J'ai rencon­tré Hélène Fillières (ndlr : l'actrice de la série Mafiosa), et j'espère bien­tôt rencon­trer Virgi­nie Efira."

    Quand Renaud explique qu'il est capable de recher­cher les numé­ros de télé­phones des actrices qu'il aime, l'entre­tien devient inso­lite.

    "Je les appelle, et je leur dis « Je suis fou amou­reux de vous, je suis le chan­teur Renaud, je ne sais pas si vous connais­sez, si vous m'aimez. Moi, je vous aime comme un fou, j'ai envie de vous voir, de boire un verre avec vous, de vous invi­ter à dîner, de vous offrir des fleurs… »  Je ne suis pas pudique. Des fois ça marche, des fois non."

    Que Virgine Efira se prépare donc à rece­voir ce type d'invi­ta­tion de la part du chan­teur. Son compa­gnon, le réali­sa­teur Mabrouk El-Mechri, ne devrait pas ressen­tir trop de jalou­sie dans cette possible rencontre, car « l'amour » que décrit Renaud semble prove­nir du profond respect qu'il a pour son travail, et non d'une passion folle pour l'ancienne anima­trice.

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  • Le rockeur américain a une nouvelle fois fait part de son aversion pour le candidat républicain à l'élection présidentielle.

    La légende du rock Bruce Springsteen rate rarement une occasion pour dire tout le mal qu'il pense de Donald Trump. Après avoir dédié une chanson à un fan qui insultait Trump lors d'un concert, le chanteur a donné son avis sur le candidat républicain dans l'émission Skavlan, diffusée ce vendredi en Norvège et en Suède, estimant que le candidat à la présidentielle américaine faisait "honte" aux Etats-Unis.

    Bruce Springsteen, qui a souvent parlé dans sa musique des difficultés des Américains de la classe moyenne, a expliqué qu'il comprenait comment Trump pouvait leur sembler "convaincant". "L'absurdité dépasse le dessin humoristique. Mais il est si près (de la Maison-Blanche) qu'on peut s'inquiéter", a ajouté le chanteur américain.

    "Je ne pense pas qu'il va gagner, mais le fait même qu'il soit candidat est une grande honte si vous être un Américain", a-t-il ajouté.

    Springsteen, chanteur engagé.

    Pour Bruce Springsteen, Donald Trump sait comment dire aux électeurs "certaines des choses qu'ils veulent entendre", y compris aux gens qui "ne sont pas à l'aise avec la coloration de l'Amérique". "Nous avons des problèmes aux Etats-Unis, des inégalités énormes dans la distribution de la richesses, qui sont le terreau de la démagogie", a expliqué Springsteen. Mais Trump "a une réponse très simple à tous ces problèmes très très complexes".

    Le chanteur doit publier la semaine prochaine ses mémoires, intitulées Born to Run, qui narrent son enfance dans le New Jersey jusqu'à ses succès musicaux. L'auteur de Born in the USA, connu pour son endurance sur scène, a conquis des fans très variés dont le gouverneur du New Jersey, Chris Christie, un des premiers responsables du parti républicain à apporter son soutien à Trump.

    Bruce Springsteen a pendant des années assuré que sa musique parlait pour lui mais il est devenu plus engagé politiquement depuis 2004, quand il a fait campagne pour le démocrate John Kerry, actuel secrétaire d'Etat, face au républicain George W. Bush.

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  • Connue pour son élégance morale et sa dignité, Sylvie Vartan a pesé et choisit les mots justes pour exprimer ses sentiments à l'égard des médias qui ont donné la parole à celle qui prétend être sa fille cachée ainsi que celle de Johnny Hallyday : Eléonore Brand-Tery . C'est via sa page Facebook que Sylvie écrit donc un message qui devrait faire taire cette rumeur.

    Mes chers amis,

    Une certaine presse avide de faux scandales et peu encline à la vérité vient de relater au travers d'une interview surréaliste, que je serais maman d'une fille que j'aurais mise au monde en 1961 et cachée de tous !

    Au-delà du caractère tronqué et faux de tels dires, ce qui me rend triste, c'est que cette même presse exploite la vulnérabilité de certaines personnes, en leur donnant la parole, tout cela pour servir les intérêts mercantiles de cette regrettable presse qui se complait de tels ragots.

    Même si je sais que vous n'êtes pas à ce point crédules, je tenais à partager avec vous ce triste ressenti.

    Avec toute mon affection,

    Sylvie

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  • Taxé de « chanteur de droite » à cause de son amitié avec Nicolas Sarkozy, Didier Barbelivien persiste et signe en déclarant son amitié à l’ancien président de la République.

    Il y a un an de cela, alors qu’il nous recevait pour nous parler de son projet d’Historic musical, Didier Barbelivien nous racontait comment lui et Nicolas Sarkozy s’étaient rencontrés. C’était au milieu des années 80, après un concert de Michel Sardou au Palais des congrès de Paris. « Dans [la] loge [de Michel Sardou], le vigile me dit que le nouveau maire de Neuilly voudrait voir Michel et me montre un couple de jeunes qui avaient l’air d’étudiants, nous racontait l’interprète des Mariés de Vendée. Je lui réponds que ce sont des mythos. Nicolas s’ap­proche et se présente. Oups ! Pour rattraper le coup, je l’ai invité à dîner. Il est parti à 5 heures du mat’ et on ne s’est plus quittés. »

    Trente ans plus tard, l’amitié est toujours aussi forte entre Didier Barbelivien et Nicolas Sarkozy. Dans Le Figaro, le compositeur - interprète parle des liens qui les unissent depuis trois décennies. « Nicolas Sarkozy est comme un frère pour moi, déclare-t-il. Si les Français le connaissaient dans son intimité, il serait élu avec 90 % des voix. C'est un homme extrêmement attachant, qui a du bon sens. François Hollande doit être charmant dans la vie, mais je n'arrive pas à comprendre qui il est. Sarkozy, je le trouve clair, limpide, en un mot : normal. C'est un mec cash qui ne se cache pas. »

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  • Madonna a 58 ans et l'assume. Mais la chanteuse en a assez d'être jugée trop vieille pour ses agissements, et pousse un coup de gueule sur Instagram.

    C’est une véritable campagne de communication que vient de lancer Madonna. Lassée d’être critiquée pour son comportement, que certains ne jugent pas de son âge (elle a 58 ans), la chanteuse a publié sur son compte Instagram de nouvelles images d’elle, dans des poses suggestives, accompagnées du message “Acting my age” (“C’est de mon âge” en version sous-titrée).

    Sur la dernière publication, la maman de Rocco se lâche et pousse un coup de gueule. “Comment sais-je que quelque chose est de mon âge ? Parce que c’est mon âge et ma vie. Et vous, les femmes intolérantes et pleines de haine, vous devez vous poser et essayer de comprendre pourquoi vous avez besoin de m’imposer des limites parce que vous avez peur de choses avec lesquelles vous n’êtes pas familières. Vous savez ce qui arrive aux femmes comme vous? Rien, parce que rien n’arrive à ce genre de personne.” Une manière de répondre aux critiques estimant qu’elle a une attitude qui ne colle pas avec ses 58 printemps. “Vous savez ce qui arrive aux intolérants ? Rien ! Rien n’arrive aux gens à l’esprit fermé… Mais je vous pardonne. Parce que c’est le mois du pardon”, a-t-elle conclu.

    Ce n’est pas la première fois que Madonna tient ce genre de discours. Dans une interview accordée récemment au New York Daily News, la star avait déjà défendu son droit à l'exhibitionnisme. "Mais p..., c'est à ça que mon cul ressemble !"avait-elle répondu au journaliste qui la titillait sur le sujet. "J'aimerais bien voir vos fesses à 56 ans ! Je prends soin de moi. Je suis en forme physiquement. Je peux montrer mes fesses à 56, 66 ou 76 ans. Qui ose venir me dire le contraire ? C'est sexiste, c'est de l'âgisme et c'est une forme de discrimination."

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  • Absent des bacs depuis quelques années, Yves Duteil vient de faire ses premiers pas au cinéma dans Faeryland, un « film de science fiction vegan » via une bande-annonce.

    Faeryland, c’est le titre du « premier film de science-fiction vegan » réalisé par Maga Ettori sorti hier dans très peu de salles en France. Un long-métrage futuriste (l’action se déroule en 2050) au casting duquel nous retrouvons quelques têtes connues comme la comédienne Mylène Demongeot, Emmanuel Djob (demi-finaliste de The Voice en 2013) et… Yves Duteil !

    En poussant nos recherches, nous sommes tombés sur une interview du chanteur culte de 67 ans pour qui ce film est une première expérience cinématographique. Un entretien dans lequel il tente de nous faire le résumé de Faeryland. « En quelques millénaires,  [les hommes] ont occupé l’espace, modifié les climats et saccagé la planète, raconte Yves Duteil. Leurs expériences en manipulation génétique ont engendré un terrible virus qui pourrait faire disparaître toutes formes de vies sur Faeryland. Le dieu-druide Cathbad est le seul à pouvoir sauver la planète, mais pour y arriver il doit retrouver le Graal. Musicien et poète, William est la dernière personne à avoir eu le Graal entre les mains. » Un pitch que l'on tente de retrouver dans une bande-annonce.

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  • C’est un duo aussi inattendu que réjouissant. À l’occasion de sa prestation lors de la dixième édition du Apple Music Festival, Elton John a invité Christine and the Queens à le rejoindre sur scène.

    Il en est fan. Depuis qu’il a entendu Héloïse Letissier alias Christine and the Queens sur la scène du Roundhouse ce printemps, Elton John ne s’en est pas remis. “Elle était incroyable et désormais elle est très populaire en Angleterre”, a commenté le chanteur dans une interview à la radio. Ce parrain bienveillant souhaite que notre Française adorée connaisse le même succès partout dans le monde et il est confiant: “parce qu’une fois qu’on l’a vue en live, on est ébloui”.

    On imagine la fierté qui a envahie Christine en découvrant les mots de ce fan célèbre. Et pour donner un petit coup de pouce supplémentaire à sa protégée, Elton John lui a offert une belle exposition dimanche dernier. L’interprète de Your Song a invité la Nantaise à le rejoindre sur scène afin d'interpréter en duo la version anglaise de Christine intitulée Tilted. La jeune femme et ses danseurs ont d’abord donné le ton avant d’être accompagnés au piano et en chanson par Sir Elton John.

    Si l’Angleterre toute entière est en train de succomber aux charmes de Christine, certains s’essayent déjà à des reprises de ses tubes. Ainsi, l’ex-star du r’n’b (toujours très en vogue de l’autre côté de la Manche) Craig David, a livré sa version très personnelle de Tilted. Le spécialiste des vibes qui s’était connaître avec 7 Days s’est fait plaisir en reprenant la chanson de la Française qui a, là encore, apprécié l’hommage ! 

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  • Alors que les fans de Notre-Dame-de-Paris l'attendent sur la scène du Palais des Congrès de Paris, en novembre, l'inter­prète de Frollo vient de confier qu'il a failli y passer…

    La nouvelle n’a pas encore ému, de ce côté ci de l’At­lan­tique. Au Québec, où il assure actuel­le­ment la promo­tion d’un nouvel album, Mes longs voyages (Spec­tra Musique), elle a eu la portée d’une onde de choc. A 67 ans, Daniel Lavoie a failli succom­ber à une infec­tion pulmo­naire.

    Le Frollo de la comé­die musi­cale Notre-Dame-de-Paris, rejouée sur la scène du Palais des Congrès à partir du 12 novembre, a confié à nos confrères québé­cois de La Presse : « Je suis passé proche d’y passer. C’est derrière moi, j’es­père. Ce que j’ai eu ne fait pas de méta­stases, alors je suis un homme chan­ceux ! ». La jour­na­liste qui l’a inter­viewé mentionne dans son papier une cica­trice qui court du milieu de son thorax jusqu’à son cou.

    Pudique, Daniel pour­suit : « C’est exis­ten­tiel­le­ment enri­chis­sant et inté­res­sant, même si l’in­cer­ti­tude de la mala­die n’est pas facile à vivre. J’es­saie de trou­ver le bon côté de tout ça. »

    Enre­gis­tré après dix années de silence disco­gra­phique et seule­ment distri­bué au Québec pour l’ins­tant, son nouvel album, le 23eme de sa carrière, ressemble à une affaire de famille. Réalisé par Joseph Dubuc-Lavoie, un des trois enfants de Daniel, il évoque égale­ment sur un titre la mère du chan­teur dont la mémoire s’en­vole un peu plus chaque jour. « Ma mère me fascine. Elle a 93 ans et elle ne se souvient de rien, sauf des paroles des chan­sons et des mélo­dies. Un jour, je l’ai surprise à inter­pré­ter un de mes titres, Jour de plaine. J’ai eu envie de lui faire une chan­son pour cette raison. Je l’aime et je la trouve belle. » Le morceau s’in­ti­tule Ma mère chan­tait les feuilles.

    Lais­sant sous-entendre qu’il s’agit de son dernier disque, Daniel, malgré la lourde opéra­tion qu’il a subie, se veut plus rassu­rant quant à sa parti­ci­pa­tion aux dates pari­siennes et à la tour­née de Notre-Dame-de-Paris : « J'ai accepté parce que je vois Frollo de manière très diffé­rente, aujourd'hui. À l'époque, c'était le gars qui faisait sa crise de la quaran­taine, comme moi. Là, il approche de la vieillesse; il est plus fragile, acariâtre et frus­tré! J'avais envie de voir ce que ça allait donner. »

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  • Bonjour. J'ai relancé le blog en postant de nouvelles actus depuis hier. Bonne visite et à bientôt.

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  • Une étonnante publication est apparue ce matin sur le compte Instagram du compositeur interprète...

    Un an après s’être séparé de Vanessa Paradis, Benjamin Biolay semble toujours penser à elle. C’est du moins ce que laisse penser sa publication Instagram.

    Mardi matin en effet, l’artiste a posté la pochette de Divinydille, l'album de son ex-compagne (sorti dans les bacs en 2007), présentant un portrait de celle-ci. L’image était également accompagnée d’un message à ses quelques 23.000 fans : "Beauté. Bonne journée à toutes et tous." Un clin d’œil appuyé à l'ancienne compagne de Johnny Depp, et surtout, à la femme dont il a partagé lui-même la vie durant plusieurs mois. 

    Pour les fans de l’auteur de La Superbe, cette initiative fait renaître l'espoir d'un retour de flamme, en témoignent les messages laissés par ces derniers sur le réseau social. Certains s'inquiètent même de voir Benjamin souffrir d'un "coup de blues". 

    Tous leurs admirateurs se souviennent de leurs interprétations en duo comme  Pas Besoin de Permis ou encore La Chanson des vieux cons. Les deux anciens amants s’étaient quittés en Juin 2015, lorsque le séduisant français l’avait laissée pour les beaux yeux d’Anna Mouglalis.

    Et si le villefranchois penché sur ses partitions cherchait un peu de réconfort auprès de sa "chanteuse préférée" avant son prochain concert ?

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  • Les nouvelles de la santé de Jacques Chirac ne sont pas des plus rassurantes. Michel Sardou, un proche de l’ancien président de la République, se rappelle quelques anecdotes croustillantes.

    Chanteur engagé, Michel Sardou n’a jamais caché ses sympathies politiques, plutôt à droite quoi qu'il en dise. Si son amitié avec Nicolas Sarkozy est quelque peu complexe, celle qui lie le chanteur à Jacques Chirac n’a jamais varié. Invité mardi de la matinale de Thomas Sotto sur Europe 1, l’interprète de La java de Broadway s’est confié sur l’ancien chef de l’Etat et leur amitié.

    Michel Sardou a expliqué que leur «relation amicale» a débuté au début des années 90. «A l’époque, il se présentait contre Balladur et j’étais persuadé qu’il allait l’emporter alors que tout le monde l’enterrait» a-t-il confié.

    Michel Sardou s’est ensuite souvenu d’un dîner avec Jacques Chirac. «On était allés bouffer une tête de veau place des Vosges et je lui ai dit: garde le moral! C’est pas gagné encore» avait alors glissé l’artiste à l’homme politique. Mais l’anecdote la plus croustillante, c’est lorsque le chanteur a été invité à diner au palais de l’Elysée après la victoire de Jacques Chirac à l’élection présidentielle de 1995. Sous l’œil inquisiteur de Bernadette Chirac, qui surveillait de près son époux, les deux hommes aimaient boire de l’alcool. «On se passait les bouteilles de Corona sous la table, parce que sa femme ne voulait pas qu’il boive de la bière» confie un Michel Sardou amusé.

    Aujourd’hui, l’heure n’est plus à la rigolade. Jacques Chirac a été hospitalisé d’urgence ce week-end en raison d’une embolie pulmonaire et son état de santé suscite la plus grande inquiétude.

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  • Pour récupérer d’une tournée ou décompresser après une longue session d’enregistrement en studio, Sting s’envole pour son havre de paix. Sa maison de vacances, en Toscane, est le lieu idéal pour retrouver sa femme. 

    Enfin, il est fini ! Le 12ème  album studio du chanteur de Liver­pool sortira le 11 novembre prochain. Intitulé "57th & 9th", en référence à une intersection new-yorkaise, cet opus évoquera des sujets d'actualité comme les réfugiés en Europe et le changement climatique. 

    Pour se reposer, c’est en Toscane qu’il s’envole avec son épouse Trudie Styler, actrice et productrice anglaise. En 1997, ils ont investi dans une villa magnifique, datant du XVIème siècle, de plus de 3000 mètres carrés. Il aura fallu plusieurs années au couple pour la redécorer à leur goût et transformer la villa en home sweet home. 

    L’Italie a toujours été une destination de choix pour Sting et sa femme, c’est ici que leur fille Coco est née. La naissance de ce troisième enfant a eu lieu à Pise, en 1990, alors que Sting enregistrait son album « The Soul Cages »

    Il Palagio, puisque que c’est comme ça que se nomme la villa, appartenait une famille de nobles italiens. « Nous sommes tombés amoureux de ce terrain », raconte le chanteur, « il y a une atmosphère spirituelle qui le rend très accueillant ». L’extérieur de la propriété est aussi à couper le souffle avec ses six maisons d’invités, ses cinq lacs et une forêt cachant 8000 arbres. Ils se sont aussi construit un "Cinema Paradisio", un cinéma en plein air dans leur jardin.

    Depuis qu’ils se sont installés, le couple célèbre, en Toscane, leur anniversaire de mariage tous les ans, accompagnés de famille et amis. Cette année, ils fêteront leurs 24 ans de mariage. 

    À Il Palagio, on produit son vin grâce aux vignes du jardin mais aussi son miel et son huile d’olive. Parfait et suffisant pour une escapade romantique sous le soleil italien.

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  • Samedi 17 septembre, Céline Dion était l'invitée spéciale de l'émission québécoise En direct de l'univers, diffusée sur Ici Radio-Canada. La star, qui a enregistré le show alors qu'elle était de passage au Québec pour sa tournée estivale et la promotion de son disque Encore un soir, est allée de surprise en surprise...

    Céline Dion a donc inauguré la 8e saison de cette émission et le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle semble avoir beaucoup aimé son passage. Il faut dire que les équipes se sont données du mal pour orchestrer un show dynamique, mettant l'accent sur sa carrière avec originalité sans tomber en pâmoison, évitant le cirage de chaussures un peu trop gênant... Ainsi, la chanteuse a d'entrée de jeu était séduite par un impressionnant medley reprenant des chansons qui ont racontent toute un bout d'histoire de sa vie (pas forcément les siennes) avec, sur scène, des gens qu'elle aime comme l'imitatrice Véronic DiCaire, la chanteuse Nanette Workman mais aussi son frère Michel, qui travaille avec elle comme régisseur.

      L'instant le plus cocasse est venu d'une réinterprétation de My Heart Will Go On avec des invités spécialement habillés du désormais cultissime sweat-shirt Titanic, qu'elle avait porté lors de son récent séjour à Paris. Toutefois, plutôt que d'y voir la tête de Kate Winslet à côté de celle de Leornado DiCaprio, c'était la sienne qui y figurait. Interrompant la prestation, une vidéo a ainsi montré le joueur de hockey Pernell Karl Subban essayait de chanter le refrain du tube sans succès avant d'être suivi par René-Charles, le fils aîné de la star. Ce dernier, plutôt que d'échouer a alors gentiment moqué sa maman. "Tu sais maman, moi je suis meilleur au hockey que pour chanter mais moi au moins je le sais", lui a-t-il dit. D'ailleurs, question hockey, la diva a révélé qu'elle n'aime pas beaucoup fêter son anniversaire et qu'elle préfère louer l'Arena de Las Vegas pour deux heures afin d'y voir jouer son fils, tout en se régalant avec quelques proches d'un buffet spécialement installé sur place.

     Si Céline Dion était ravie de voir le clin d'oeil de son fils aîné, elle a aussi aimé le fait de voir sa maman Thérèse installée dans le public avec ses jumeaux Nelson et Eddy. C'était la première fois que ses jeunes enfants étaient sur un plateau télé devant leur maman ! Parmi les autres moments forts de cette émission : le petit mot de Sia (qui lui a écrit Loved Me Back To Life), la présence surprise de sa meilleure amie américaine Robin Slavin,qui lui a chanté You've Got a Friend de Carole King ainsi que la présence de ses frères et soeurs avec leurs enfants et petits-enfants qui ont repris Mamy Blueet Oh Happy Day. Un beau moment alors que le clan Dion est encore frappé par le cancer !

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  • Invi­tée de Cyril Hanouna dans l'émis­sion « Touche Pas A Mon Poste », ce lundi 19 septembre, à l'occa­sion de la sortie de Doro­thée: L'essen­tiel (triple compi­la­tion regrou­pant tous ses tubes mais aussi 13 inédits), l'ex-idole de la jeunesse revient pour sur brutale évic­tion de TF1, il y a bien­tôt 20 ans. Une retraite impo­sée, devenu un choix de vie…

    « Dès que quelque chose m’em­bête un petit peu, j’ai la faculté d’oc­cul­ter. » A l’autre bout du télé­phone, la voix est incroya­ble­ment fami­lière, entre la grande sœur et l’amie d’en­fance, voire la « nounou » comme la quali­fient encore beau­coup de tren­te­naires. Quand on demande à Doro­thée de racon­ter cette dernière jour­née, la dernière du Club Doro­thée, sur TF1, elle s’en tient au factuel. A l’époque déjà, elle avait su serrer les dents pour rete­nir ses larmes. Alors, vingt ans après…

    Nous sommes le 26 août 1997. Les vacances touchent à leur fin et Paris reprend douce­ment des couleurs de rentrée. Rue de la Montjoie –qui ce jour-là porte assez mal son nom-, à la Plaine Saint-Denis, où se situent les studios de AB produc­tions, tout le monde est là. Notam­ment Jacky, le rocker sympa, Corbier, le chan­son­nier lunaire, la brune Ariane et elle, bien sûr, Doro­thée. Petit pull col roulé blanc, veste bleu élec­trique, elle chante :« Et même à l’autre bout du monde, quel que soit l’en­droit où l’on soit, aussi vrai que la terre est ronde, un jour on se retrou­ve­ra… » « Do » souffle les bougies des dix ans de son émis­sion. Il y a du bon petit soldat en elle. Quelque chose de volon­taire. « Je n’aime pas perdre le contrôle, me lais­ser aller, commente-t-elle aujourd’­hui. J’ai peut-être peur de trop montrer mes senti­ments. Pourquoi ? Allez savoir… Et puis, c’était déjà assez triste comme ça de partir, on n’al­lait pas en rajou­ter ! Quand j’ai commencé ce métier, vous savez, je me suis toujours dit qu’un jour ça s’ar­rê­te­rait, c’était clair dans ma tête. Mais j’au­rais préféré choi­sir la date moi-même. »TF1 ne lui en n’a pas laissé le loisir. « Ça a été le coupe­ret, le coup de massue. On ne me l’a pas annoncé offi­ciel­le­ment, j’ai appris les choses par les bruits de couloir, les « On a lu que… », « On a entendu que… »… »

    Cette dernière, Doro­thée aurait aimé la faire en direct, comme les autres. Mais la chaîne en a décidé autre­ment.« Ils ont dû penser que j’al­lais régler tous mes comptes, ce qui n’est pas du tout mon style, je n’au­rais rien fait de spécial. Ils ont  voulu sécu­ri­ser. Ce n’est pas grave. » Si d’autres ont gardé de la rancœur, elle non. Ce mot, comme regrets ou remords d’ailleurs, elle l’a rayé de son voca­bu­laire. Ques­tion de survie ? « Ques­tion d’édu­ca­tion », réplique-t-elle. Le vendredi 29 août, quand l’émis­sion est enfin diffu­sée et que ses cinq à six millions de petits fans apprennent du coup la triste nouvelle, Doro­thée, elle, est déjà ailleurs. Dans un chagrin plus privé dont elle nous demande de ne pas trop parler (« S’il vous plait, c’est mon point faible »). Juste dire alors que le soir même de l’en­re­gis­tre­ment de cette dernière, lors d’un diner orga­nisé par toute l’équipe, son télé­phone a sonné. Elle a répondu. Puis disparu. Sa maman, qui était malade, venait de mourir. Au moment où une page profes­sion­nelle se refer­mait, la sphère fami­liale se rappe­lait à elle doulou­reu­se­ment, certes, mais inten­sé­ment. Cette partie de sa vie qu’elle avait mise en sour­dine pendant près de vingt ans la convoquait. Frédé­rique Hoschedé, de son vrai nom, avait tout un tas de choses à faire, à décou­vrir, à rattra­per même. Et en premier lieu : « Un peu de vacances ne m’a pas fait de mal ! », sourit-elle.

    «  Cela n’a pas été si diffi­cile que ça en fait d’ar­rê­ter, avoue-t-elle. Il y a eu un petit silence, c’est vrai, j’avais besoin de digé­rer tout ça, je n’avais pas envie de me répandre, mais ce n’est pas dans mon tempé­ra­ment de rumi­ner ou de regret­ter. »Ok. Mais diver­tir la jeunesse de vingt à quarante heures de direct par semaine, déte­nir le record de spec­tacles avec quelques cinquante-neuf Bercy remplis à guichets fermés, avoir enre­gis­tré une ving­taine d’al­bums (trente millions de disques vendus)… Le simple fait d’énu­mé­rer tout cela donne le tour­nis. « Je comprends, s’amuse-t-elle,moi-même, je suis épui­sée rien qu’à regar­der des docu­men­taires qui me sont consa­crés ! ». Doro­thée assure pour­tant que tout cela n’était ni une corvée, ni un sacer­doce, mais juste sa vie. Qu’a­voir été privée des siens, privée d’en­fants aussi, était un choix déli­béré. « C’était ou la carrière, ou la vie de famille. J’ai privi­lé­gié la première. Je ne pouvais pas faire les deux. Et ce qui ne s’est pas fait, ne s’est pas fait, je l’ac­cepte. Je ne garde en mémoire que les bons moments, j’es­saie au maxi­mum en tout cas. Poli­tique de l’au­truche, me direz-vous ? Et pourquoi pas… » Derrière l’ap­pa­rence fluette, on sent une éner­gie de bull­do­zer, une force puisée dans des racines solides.

    Bretonne de cœur et d’ori­gines, il y a quelque chose de miné­ral et de clair en elle. Chez les Hoschedé, on a dû beau­coup s’ai­mer et se le dire. Elle confirme. « J’ai été bien proté­gée, bien diri­gée. Maman était très carrée, stricte quand il le fallait, mais hyper drôle aussi. Quand j’ai commencé ce métier, elle était toujours derrière à me dire « Atten­tion ! » Et ça, c’était bien. Papa, je l’ai perdu très tôt. Il chan­tait magni­fique­ment bien, il aurait adoré parti­ci­per à des spec­tacles, des albums, je suis sûre qu’on aurait fait des duos d’en­fer ! Il est parti trop tôt. Je commençais comme spea­ke­rine quand il est mort. En faisant ce métier, quelque part, j’ai réalisé son rêve. » Elle se souvient qu’en 1973, quand Jacque­line Joubert alors sur l’ORTF lui a proposé de faire de la télé­vi­sion, son père lui a dit : « Si tu aimes, vas y !»« C’est génial de la part d’un papa je trouve !, lance-t-elle.Maman était plus réti­cente, car plus protec­trice, mais elle ne m’a jamais empê­chée non plus. » Véri­table garçon manqué, plus portée sur les jeux de cow-boys et d’in­diens que sur les poupées (« au grand déses­poir de maman », précise-t-elle), Frédé­rique vouait un véri­table culte à son frère Jean-François, son aîné de sept ans. « Gamine, j’étais un boulet pour lui, mais vers l’âge de vingt ans, nous sommes deve­nus soudés comme les doigts d’une main. » En 2010, Jean-François est mort des suites d’une mala­die. « Je suis toujours leur fille, je suis toujours la sœur. Je pense à eux tout le temps ! Non stop ! Je me dis « Ah, s’ils étaient là ! », « Ah, s’ils voyaient ça ! ». Je vis toujours avec eux en fait. Je n’ai pas coupé le cordon. »« Faute de famille, l’homme, dans l’im­mense univers, tremble de froid », écri­vait André Maurois. S’il n’y a pas chez Doro­thée ce besoin vital de lumière qui fait que d’au­cuns s’y brûlent, c’est sans doute là qu’il faut en trou­ver l’ex­pli­ca­tion. Dans cette famille soudée, unie, perçue comme un nid protec­teur. Voilà encore comment expliquer qu’une déci­sion impo­sée par autrui, devint, dans les mois, les années qui suivirent, un choix person­nel. « C’est vrai ! Je n’avais pas envie de parler pour ne rien dire, ni de faire n’im­porte quoi pour le plai­sir de faire… »

    Et aller frap­per aux portes avec des projets sous le bras ? Se battre ? Emprun­tant aux enfants, l’une de leurs expres­sions, elle nous répond : « N’avais pas envie ! » En 2004, elle a pour­tant failli reprendre le rôle de Gérard Klein dans la série L’ins­tit. Quatre ans plus tard, entou­rée des anciens du « Club Doro­thée », elle a contri­bué au lance­ment de IDF1, chaîne locale d’Ile-de-France, propriété de son ancien produc­teur, Jean-Luc Azou­lay. En 2011, sur RTL9, chaîne du groupe AB, elle a animé quelques émis­sions sur la magie avec l’illu­sion­niste Laurent Beretta. Des appa­ri­tions toujours trop furtives. « Je n’ai pas baissé les bras, mais j’avançais au coup de cœur, confie Doro­thée. Quitte à faire quelque chose, j’au­rais aimé que ce soit diffé­rent. »Comme le cinéma par exemple. Après avoir tourné L’amour en fuite (1979), avec François Truf­faut, et Pile ou face (1980), entre Michel Serrault et Philippe Noiret sous la direc­tion de Robert Enrico, elle aurait pu y prétendre en effet… « On ne m’a rien proposé. L’étiquette était là, c’était impos­sible. » Label­li­sée télé, jeunesse, TF1, on lui a fait d’une certaine façon payer son succès, son omni­pré­sence, voire omni­po­tence.« Quand elle était à Antenne 2, les critiques la portaient aux nues, dès qu’elle est passée à TF1 qui venait d’être priva­ti­sée, elles l’ont clouée au pilori », raconte un de ses proches. Télé­rama osa même alors un « Faut-il brûler Doro­thée ? » en pleine une. « Les critiques étaient assez insup­por­tables, se souvient-elle. J’es­sayais de ne pas les lire, de ne pas les entendre, mais ce n’était pas toujours possible et certaines faisaient parfois très, très mal. Cepen­dant, je n’ai jamais eu envie d’y répondre. Si cela s’était déroulé à l’époque de Twit­ter et des autres réseaux sociaux, je n’au­rais pas répondu non plus. Cela ne sert à rien d’en­ve­ni­mer les choses. »

    Quand la lumière s’est éteinte, Doro­thée ne s’est pas perdue. Pas trou­vée non plus. Elle a juste conti­nué. Elle conti­nue. De sa vie privée, elle dit toujours « Tout va très bien, merci ! », pour couper court aux ques­tions. Début 2010, Thierry Demai­zière, jour­na­liste de l’émis­sion « Sept à huit »,  tenta de la faire réagir à la rumeur d’un cancer surmonté. Respec­tueux de son extrême discré­tion, ses intimes osent à peine avouer qu’elle vit avec un compa­gnon depuis plusieurs années. Doro­thée n’en­trouvre aucune porte.  « Mon inti­mité, c’est comme ma maison. Et peu de gens ont les clefs de ma maison. » Entre son appar­te­ment pari­sien et sa maison de Norman­die, la télé­vi­sion reste une vieille copine qu’elle fréquente dès le matin (les chaînes infos), puis au hasard des programmes. Evidem­ment, on ne peut s’em­pê­cher de lui deman­der si une émis­sion lui donne­rait envie. Petit racle­ment de gorge : « Est-ce que je suis obli­gée de répondre ? »… Selon Boris Cyrul­nik, « L’évo­lu­tion ne connaît pas la marche arrière. » Doro­thée non plus.

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  • Après l'immense succès à Paris en 2016 de la pièce Ne me regardez pas comme ça avec Isabelle MergaultSylvie va parcourir toute la France pour la présenter en province plusieurs mois. " C'est la première fois que je vais partir en tournée en province avec une pièce (de théâtre) qui laisse un grand sourire dans les cœurs, c'est important. Je me disais : « si je devais jouer une pièce dramatique, je serais complètement vidée. Alors que là on est porté par les rires, les applaudissements... "

    Autre actualité et non des moindres, le label anglais ACE Records va ressortir en Angleterre et aux USA les premiers titres que Sylvie a enregistré dans les années 60 (et des inédits comme Stupid Cupid...) aux Etats-Unis . Un retour en arrière qui amuse beaucoup la star et la preuve d'une carrière internationale unique pour celle qui a vendu plus de 40 millions de disques et CD dans le monde ! " Je me revois teenager sans aucun complexe allant enregistrer dans des studios mythiques, je trouvais cela tout à fait normal. Cela m'a amené à faire des tournées des radios aux Etats-Unis et des émissions de télévision à mes tout débuts. Je découvrais l'Amérique avec mes yeux d'enfant ".

    Et la surprise de la rentrée, c'est le livre d'Histoire/Géographie pour les 4ieme/3ieme aux éditions Hachette dont Sylviefait la couverture. Une consécration sans précédent pour un artiste. " J'ai surtout été très étonnée de découvrir la couverture de ce livre. C'est une photo de Jean-Marie Perier ou je suis allongée en train de lire. C'est un appel a la lecture peut-être. En tout cas j'aime beaucoup l'histoire donc je suis très honorée ! ".

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  • MUSIQUE - Certaines ruptures sont plus difficiles à vivre que d'autres. Ce n'est pas Jason Donovan qui dira le contraire. Cet acteur et chanteur australien a vécu une belle histoire d'amour avec Kylie Minogue au milieu des années 80.

    C'est sur le plateau de la série Neighbours que les deux adolescents sont tombés amoureux. Jason Donovan est le premier petit ami de la chanteuse. Sur un petit nuage, les deux tourtereaux enregistrent même ensemble le titre Especially for You, qui rencontre un franc succès dans leur pays. Malheureusement, après quatre ans d'amour, Kylie Minogue quitte Jason Donovan afin de se mettre en couple avec Michael Hutchence, le bad boy du groupe INXS. Une rupture qui a été douloureuse pour Jason Donovan, comme il le confie dans les colonnes du Daily Telegraph. "Je ne m'y attendais pas. Mon Dieu, j'étais un grand fan de Michael Hutchence à l'époque", avoue l'acteur australien. Et d'ajouter : "Il était l'incarnation même du Dieu du rock australien. Ca m'a fait réfléchir sur moi-même. Je me suis demandé ce que j'étais".

    En proie aux doutes, Jason Donovan ne cache pas avoir très mal vécu cette rupture. "Ca a été dur. Je me sentais comme un petit garçon perdu", confie-t-il. Ironie du sort, alors que sa vie sentimentale est au plus bas, le chanteur cartonne aux quatre coins du monde avec ses chansons. Si elle a été douloureuse, cette rupture n'a pas été insurmontable. Jason Donovan a retrouvé l'amour dans les bras d'Angela Malloch, avec qui il a eu trois enfants. C'est sûr, son histoire d'amour avec Kylie Minogue appartient aujourd'hui au passé !

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