Ce jeudi 3 juin, le chanteur Frédéric François souffle sa 71ème bougie ! L'occasion de nous intéresser de plus près à celle qui lui a dit "oui" en septembre 1970, Monique Vercauteren.

C'est une histoire qui dure depuis plus de 50 ans, entamée sur la piste d'un bal à Liège en Belgique. La jeune Monique Vercauteren, issue d'une famille ouvrière et d'une fratrie de 12 enfants, y repère le timide Frédéric François, à qui elle tend la main pour qu'il l'invite à danser. "C'est la première fois qu'une femme s'intéressait à moi. C'était mon premier grand amour", avait confié sur le plateau de Je t'aime, etc... celui qui avait donné de ses nouvelles après un an de confinement.

Il ira même plus loin dans le scoop : "On va être sincère, elle a été ma première fois. Le garçon timide qui n'osait pas... Toutes les filles me larguaient... Je ne sais pas pourquoi... La jalousie... Je ne comprenais pas. J'étais malheureux...". A l'époque, le chanteur peine à se faire connaître tandis que Monique, dont on peut entendre la voix sur le titre I love you, je t'aime, travaille à l'usine. Puis c'est le début de la gloire, grâce au tube Je n’ai jamais aimé comme je t’aime. Un succès qui ne séparera jamais les deux tourtereaux. Aujourd'hui encore, Frédéric François considère sa moitié comme "quelqu'un de particulier", "la femme dont il rêvait".

Ensemble, Frédéric François et Monique Vercauteren deviendront les parents de quatre enfants : Gloria, Frédéric, Anthony et Victoria. Mais deux autres bambins auraient également dû rejoindre la fratrie : dans les années 80, son épouse perdra des jumeaux à l'issue d'une fausse-couche. "Ça a été un événement douloureux. On avait commencé à tout préparer pour leur arrivée. Puis, on a dû aller à l'hôpital en urgence, et on nous a annoncé qu'on les avait perdus. Il a fallu du temps pour s'en remettre. Il y a eu une phase de dépression, c'était un cauchemar. On a décidé très vite d'avoir un autre enfant. C'est ainsi que Victoria est arrivée. Ça a permis d'atténuer la douleur. Mais une perte pareille ne s'oublie pas", livrait Frédéric François dans une revue en 2020.