• MUSIQUE - L'américaine Wendy Leigh publie un nouveau livre sur l'artiste britannique, à l'occasion de la sortie d'une compilation Nothing Has Changed qui célèbre ses 50 ans de carrière. L'auteure dresse un portrait peu flatteur du roi de la pop music Outre-Manche.

    David Bowie amateur d'orgies avec Mick Jagger. L'anecdote est assez inattendue. C'est pourtant l'une des surpenantes facettes du chanteur qui est révélée par cette nouvelle biographie sobrement intitulée Bowie. Wendy Leigh, journaliste au New York Times reconnue pour ses best-sellers, s'appuie sur de nombreux témoignages : des amis de Bowie, ses anciens amours ou encore ses proches collaborateurs dans l'industrie du disque. Des extraits exclusifs sont proposés par le New York Daily News.

    Plus que jamais David Bowie est une icône de la pop culture britannique. En témoigne, le succès de son retour l'an passé avec The Next Day, album célébré par la critique qui a obtenu une nomination pour le prestigieux Mercury Prize 2013.

    Pourtant, ce n'est pas ce n'est pas cet aspect-là qui intéresse le plus Wendy Leigh. Mais plutôt son succès auprès des femmes... et même des hommes. La biographie évoque l'esprit volage de l'artiste, le «fanatisme sexuel» dont a fait preuve le chanteur qui a enchaîné les amourettes avec l'actrice Elizabeth Taylor, la chanteuse Marianne Faithfull, voire Bianca Jagger, la propre femme du leader des Rolling Stones. Marié avec Angela Barnett jusqu'en 1980, le couple aurait réalisé les expériences sexuellles les plus extravagantes.

    Liaison sérieuse avec Mick Jagger.

    «David et Angie étaient habitués à participer aux plus incroyables orgies sur Oakley Street [à Londres]», raconte une source citée par Wendy Leigh. «Tout le monde baisait tout le monde et Mick Jagger avait l'habitude de venir pour s'y impliquer». La biographie revient également sur l'addiction à la cocaïne de l'interprète de Heroes, qui aurait amplifié ses besoins de sexe au point d'être «dévoué à faire l'amour avec autant de partenaires que possible».

    Le livre étale aussi la bisexualité de David Bowie en racontant ses relations avec des hommes, évoquant même une nouvelle fois la liaison sérieuse qu'il aurait pu avoir avec Mick Jagger. Dans la biographie, l'ancien assistant de Bowie, Tony Zanetta, nuance ce supposé fanatisme sexuel du chanteur, se remémorrant davantage un homme en recherche constante d'attention, plutôt que de sexe : «Quand nous étions au lit ensemble, il était plus sensuel et narcissique. Mais pour lui, c'était plus pour être adoré : je ne pense pas que le sexe lui importait tant que ça.»

    Aujourd'hui, à 67 ans, David Bowie est père deux enfants et vit depuis vingt-deux ans avec sa deuxième femme la top-modèle somalienne Iman.

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  • Blossom Child - I Pray - 1986

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  • Kim Carnes - Draw Of The Cards - 1981

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  • Bobby McFerrin - Don't Worry Be Happy - 1988

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  • MUSIQUE - Son prochain album s’appelle Tell ‘Em I’m Gone – Dites leur que je suis parti -, et pourtant c’est bien son grand retour que Cat Stevens aka Yusuf Islam vient d’annoncer. A la fin de l’année, le chanteur britannique effectuera sa première tournée en Amérique du Nord depuis 35 ans.

    Ses fans outre-Atlantique doivent se réjouir de l’heureuse nouvelle : Cat Stevens va entamer à la fin de l’année une tournée au Canada et aux Etats-Unis. Une première depuis plus de trois décennies ! Six dates à ne rater sous aucun prétexte, de Toronto à New York, en passant par Boston, Chicago, San Francisco ou Los Angeles s’étendront sur la première quinzaine de décembre. Pour célébrer la sortie de son quatorzième album studio le 27 octobre prochain, baptisé Tell ‘Em I’m Gone, ainsi que sa collaboration avec le label Legacy Recordings, le musicien pop-folk nous réserve une belle série de concerts, qui démarrera en Europe, après un détour par Dubaï dès début novembre.

    Icône des années 1970, Cat Stevens a marqué l’industrie musicale avec ses mélodies folks. The First Cut is The Deepest, Lady d’Arbanville, Wild World, Father and Son, celui qui doit son surnom à son regard de chat n’a eu de cesse de marquer son époque et les générations suivantes avec ses refrains entêtants. Mais le compositeur est avant tout en quête d’identité mystique: en 1977, il se convertit à l’Islam après avoir essayé le bouddhisme mahayana zen, ou encore l’astrologie. Après avoir ouvert la Bible, Cat Stevens trouve sa voie dans les pages du Coran et devient Yusuf Islam. Son rapport à la musique s’en voit bouleversé, il dénigre un temps l’œuvre qui l’a fait connaître, son public, se consacre à l’écriture de morceaux plus spirituels. 

    Avec Tell’Em I’m Gone, Yusuf Islam écrit un nouveau chapitre de sa carrière, avec dix tubes dont cinq créa­tions origi­nales et cinq reprises. «Ce qui est puis­sant et profond pour moi, c’est le message qui émerge des paroles, confie l’in­ter­prète. Ça m'est soudain venu à l'esprit : le combat pour la liberté ! N'est-ce pas ce dont rêve la plupart des êtres humains ? La musique et le blues notam­ment ont été des moyens pour beau­coup d'échap­per aux chaînes du destin des riches et des puis­sants.» Musul­man mais non radi­ca­lisé – contrai­re­ment à certaines rumeurs qui l’ont empê­ché de mettre le pied aux Etats-Unis en 2004 -, Cat Stevens affiche la même sympa­thie baba cool de ses débuts. S’il a toute­fois foulé le sol améri­cain pour quelques concerts confi­den­tiels à New York en 2006, cette tour­née est la première depuis 1976. Nul doute que ses incon­di­tion­nels seront au rendez-vous pour applau­dir l’ar­tiste de 66 ans.

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  • Smiths - The Headmaster Ritual - 1985

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  • MUSIQUE - Mauvaise nouvelle pour les fans de Madonna. Le successeur de "MDNA", que la popstar enregistre aux côtés de Diplo, Avicii ou Natalia Kills, ne devrait pas voir le jour avant 2015, si l'on en croit les déclarations faites par son manager Guy Oseary au magazine Billboard.

    Les fans excités par l'important teasing mis en place sur les réseaux sociaux par Madonna risquent d'être refroidis. On le sait depuis des mois maintenant, la popstar américaine prépare d'arrache-pied le successeur de "MDNA" (2012). Des artistes de renom sont tour-à-tour passés en studio à ses côtés, comme le prouve des clichés publiés à la chaîne sur Instagram : outre Pharrell Williams, qui a co-écrit et co-produit la quasi-totalité de son album "Hard Candy" en 2008, le DJ phénomène Avicii, Natalia Kills, MNEK, Disclosure et le producteur Diplo apparaîtront aux crédits de ce 13ème opus, dont le titre demeure pour le moment inconnu.

    Rendez-vous l'année prochaine ?

    Ce n'est pas la seule information à rester jalousement secrète. Alors que la rumeur voulait que l'opus sorte sur iTunes à la manière de Beyoncé, sans aucune annonce préalable, c'est finalement U2 qui a réalisé ce joli coup marketing en distribuant gratuitement "Songs of Innocence" suite à un partenariat lucratif passé avec Apple. Sans lead single sur le marché, on imaginait donc l'album de Madonna sortir pour les fêtes de fin d'année, une période d'autant plus propice qu'elle s'accompagne chaque année d'une hausse des ventes de disques. Mais selon son manager, il faudra prendre son mal en patience encore un peu plus longtemps.

    Interrogé par le magazine américain Billboard, Guy Oseary préfère tabler sur un planning moins serré et évoque une sortie « en 2015 », tout en assurant que Madonna « prend beaucoup de plaisir » en studio. Une indication évasive mais qui souligne sa volonté de peaufiner ce projet très attendu après le demi-échec critique et public de "MDNA". La semaine passée, l'interprète de "Frozen" a confirmé la participation d'Alicia Keys à l'album.

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  • MUSIQUE - Arte consacre une petite analyse des liens étroits entre les vidéo-clips de la chanteuse anglaise et le cinéma. En particulier nippon.

    On lui doit le premier hit mondial écrit et interprété par une femme, "Wuthering Heights", inspirée par le classique de la littérature anglaise Hauts de Hurlevent. Mais Kate Bush est aussi une mordue de cinéma. Sa clipographie est parsemée de références au 7e art. A l'occasion de son retour triomphal sur scène après 35 ans d'absence, la série d'Arte "Blow Up" lui consacre une courte mais passionnante vidéo.

    Dans les clips de la chanteuse, on croise en effet de nombreux acteurs et actrices tels que les britanniques Miranda Richardson (Avril Enchanté, The Crying Game, Sleepy Hollow, Harry Potter), Hugh Laurie (célèbre pour la série Dr House), Dawn French (la série French and Saunders, elle joue aussi dans Harry Potter), Frances Barber (téléfilms et séries comme Husle, King Lear ou Dr Who), l'écossais Robbie Coltrane (qui joue Rubeus Hagrid dans la saga Harry Potter) ou encore la star canadienne Donal Sutherland (Les Douze salopards, Ne vous retournez pas, mais aussi Hunger Games).

    Le réalisateur Pascal-Alex Vincent, auquel on doit cette petite analyse cinéphilo-mélomane, énumère également les références de la diva au cinéma anglais. Ici une scène de Jeune et Innocent d'Alfred Hitchcock reprise dans "Hounds Of Love", là un hommage à La Renarde ou Les Chaussons Rouges de Michael Powell, mais aussi une citation au Innocents de Jack Clayton dans "The Infant Kiss", une allusion samplée à un dialogue de Jacques Tourneur, période anglaise (Rendez-vous avec la peur), ou encore une déclaration d'amour au cinéma d'horreur de la Hammer.

    Plus surprenant, le lien de Kate Bush avec le cinéma japonais. Pour le prouver, Pascal-Alex Vincent élabore un savoureux Top 5 de ces influences nippones, dans lequel on trouve des classiques comme Kagemusha, l'ombre du guerrier (1980) et La Forteresse cachée (1958) de Akira Kurosawa , Les Contes de la lune vague après la pluie de Kenji Mizoguchi (1953), Kwaïdan de Masaki Kobayashi (1964), ou le plus méconnu Le visage d'un autre de Hiroshi Teshigahara (1966). La grande classe.

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  • Terence Trent D'Arby - Wishing Well - 1987

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  • Leisure Process - A Way You'll Never Be - 1982

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  • MUSIQUE - Il y a des stars du golf qui se blessent avec une tronçonneuse... et il y a des stars tout court qui se blessent avec des voiturettes de golf : Pia Zadora appartient à la seconde catégorie.

    Aussi connue pour son hit international en duo avec Jermaine Jackson, When The Rain Begins To Fall, extrait du film Voyage of the Rock Aliens (1984) dont elle tenait le premier rôle, que pour sa collection de loupés à l'écran, l'Américaine de 61 ans ne s'est pas ratée, ou plutôt : son fils ne l'a pas ratée...

    Le mari de la chanteuse et comédienne, Mike Jeffries, a indiqué au journal Las Vegas Sun, comme l'a relevé Us Weekly, que son épouse était en soins intensifs après avoir été blessée dans un accident survenu le jeudi 11 septembre, peu avant 18 heures, non loin de son domicile de Summerlin (Nevada). Son fils Jordan Kaufer, âgé de 17 ans, né de son second mariage (avec Jonathan Kaufer, de 1995 à 2001), conduisait une voiturette de golf dont Pia Zadora a été tout bonnement éjectée lorsque le jeune homme a pris un virage à gauche, sans doute un peu trop brusque, sur la route de leur maison. Sa chute a dû être violente puisque la sexagénaire souffrait d'une hémorragie cérébrale et d'une fracture ouverte à la cheville droite. Elle a été admise au centre médical universitaire de Las Vegas, où, conciente par intermittences, son état s'améliore peu à peu. Ses prestations de chanteuses prévues vendredi et samedi soir au restaurant italien Piero's ont évidemment été annulées.

    Ex-enfant star révélée à 10 ans dans les années 1960 à Broadway par sa performance dans Un Violon sur le toit, Pia Zadora tentait récemment un (énième) come-back, après notamment un spectacle de cabaret en 2011, avec une revue baptisée Pia Reloaded, consacrée à sa vie et son oeuvre, mise en scène par Jeff Kutash. Récompensée en 1982 d'un Golden Globe de l'Etoile montante de l'année pour son rôle dans le thriller Butterfly et alors qu'elle n'avait plus grand-chose d'une révélation, elle est aussi célèbre pour avoir collectionné les Razzies et les Golden Raspberry Awards, les "récompenses" du pire.

    Mariée en troisièmes noces, depuis 2005, avec Michael Jeffries, un inspecteur de police rencontré à l'occasion d'un dépôt de plainte, Pia Zadora avait alimenté les chroniques judiciaires en juin 2013, arrêtée pour violence domestique après avoir notamment arrosé son fils adolescent au moyen d'un jet d'eau pour l'obliger à aller se coucher. Le tribunal l'avait alors contrainte à suivre un programme de gestion de la colère et de l'alcool.

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  • Smithereens - Beauty And Sadness - 1983

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  • Cars - My Best Friend's Girl - 1978

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  • Gerry Rafferty - Baker Street - 1978

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  • MUSIQUE - Le rock britannique est en deuil : Robert "Throb" Young, ancien guitariste mais surtout membre fondateur du groupe déjanté Primal Scream est décédé brutalement, ce week-end, a annoncé la presse britannique, confirmée par son ex-acolyte Gary Mounfield, qui s'est exprimé sur le forum du groupe, faisant part de son immense chagrin. Si, à cette heure, les raisons de sa mort ne sont toujours pas connues, les réactions n'ont pas tardé à fleurir çà et là sur le web.

    D'origine écossaise, le musicien avait connu la célébrité dans les années 90 avec le succès de son groupe Primal Scream (toujours actif à ce jour), fondé avec son ami d'enfance Bobby Gillepsie à Glasgow en 1984. Représentants de la mouvance pop-psychédélique teintée de rock aux accents punk, ces derniers avaient été propulsés sur le devant de la scène avec leur album Screamadelica, sorti en 1991 qui reste, encore aujourd'hui, une référence en la matière avec des titres intemporels comme Movin' On Up.

    Après une vingtaine d'années de bons et loyaux services, Robert Young avait pris la décision en 2006 de quitter le groupe pour des "problèmes d'ordre personnel", comme il l'avait fait savoir à l'époque. Abasourdis par son décès, ses ex-camarades n'ont pas manqué de lui rendre hommage dans un communiqué dévoilé sitôt l'annonce relayée dans les médias britanniques. "Nous avons perdu un complice et un frère. Robert Young était un talent irremplaçable, très admiré par ses pairs. C'était un rockeur pur et dur. Il avait les mots "Heart & Soul" ["coeur et âme" en français, NDLR] tatoués sur son bras et sans doute aussi directement dans son coeur. Il nous avait dit un jour que se produire sur scène était un combat constant avec le public, il a toujours honoré cette attitude. Nous pensons profondément à ses fils, Brandon et Miles, ainsi qu'à leur mère Jane, ainsi qu'à sa femme Rachel et à ses proches."

    Touché par la nouvelle, Liam Gallagher, l'enfant insupportable du rock anglais, a lui aussi réagi sur les réseaux sociaux : "RIP Robert Young AKA 'Throb'. À tout jamais LG", a écrit l'infernal rockeur. L'écrivain sulfureux Irvin Welsh a lui aussi tenu à rendre hommage au musicien tout comme Tim Burgess, chanteur du groupe The Charlatans. "RIP Robert Young. L'un des meilleurs et plus grands rockeurs. Je t'aime mec, fais-leur en voir de toutes les couleurs de l'autre côté", a publié l'un. "Très triste d'apprendre la mort de Rob 'Throb' Young", a fait savoir l'autre.

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  • MUSIQUE - Au rayon des enfants de stars qui suivent le même chemin que leurs illustres parents, nous demandons Stella Santana, la fille de Carlos, guitariste légendaire de son état. Car forcément, avec de tels gènes, difficile d'échapper à une destinée toute tracée.

    À 29 ans, la jeune femme, issue du mariage entre le célèbre musicien et Deborah King - elle-même fille du cultissime chanteur de blues Saunders King -, s'est en effet officiellement lancée dans la musique, dévoilant en août dernier son premier single, The Reason, disponible à l'écoute sur le web.

    Pianiste depuis sa plus tendre enfance (depuis l'âge de 5 ans exactement), la pétillante blonde, très active sur les réseaux sociaux et plus particulièrement sur Instagram (où elle n'a de cesse de publier des clichés d'elle, instrument à la main ou, enfant, en compagnie de son célèbre papa), a enfin décidé de sauter le pas. Après des années de pérégrinations qui l'on amenée notamment à New York sur les bancs de l'université, Stella Santana a ainsi convenu que la musique était le domaine dans lequel elle souhaitait s'épanouir.

    Pour ce faire, la fille de Carlos Santana n'a bien évidemment pas manqué (probablement grâce au carnet d'adresses de papa) de s'entourer de quelques-uns des noms les plus efficaces du show business. Pour son titre The Reason, entre sonorités R&B teintées de touches rétro jazzy et estivales, la presque trentenaire a en effet fait appel à l'un des producteurs les plus en vue, Hardy Indiigo, à l'origine notamment de Superstar, le tube de Madonna. Pour le moment, difficile de dire si The Reason connaîtra le même sort que ce dernier, mais ce qui est certain, c'est que Stella Santana débarque sur les ondes avec un univers particulièrement travaillé, entre ambiance psychédélique et atmosphère visuelle colorée comme tout droit sortie d'un songe délirant des années 70. Mais bien ancrée dans son époque, la jeune femme ne manque toutefois pas d'y ajouter sa patte et surtout une griffe moderne qui enchantera probablement les amateurs de douce musique et de beats prenants.

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  • B-52's - Private Idaho - 1980

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  • Waterfront - Broken Arrow - 1989

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  • MUSIQUE - Julian Casablancas, a expliqué lors d'une interview que l'ambiance dans le groupe était très bonne et qu'il pourrait se retrouver en studio en janvier.

    Julian Casablancas, leader des Strokes, s'apprête à publier "Tyranny" avec The Voidz le 13 octobre, mais cela ne l'empêche pas de penser à son premier groupe. Lors d'une interview accordée à la station de radio anglaise BBC 6, il a ainsi déclaré : "On pourrait se retrouver en janvier pour travailler sur de nouvelles idées. Tout le monde est apaisé. Tout se déroule de manière cool. Nous n'avons rien commencé pour le moment. Mais on a donné quelques concerts cette année et l'ambiance est finalement... je ne crois pas qu'on ait déjà eu cette ambiance d'amitié et de travail, mais ça y est, on l'a. On a toujours la fibre créatrice."

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  • CINEMA - Le chanteur des Rolling Stones est à Deauville pour la promotion de "Get on up", le biopic consacré au roi de la Soul, qu'il a coproduit.

    Mick Jagger fait le show à la veille du palmarès de la quarantième édition du festival du film américain de Deauville. Il est sur les planches à l'occasion de l'avant-première de Get on up, un biopic sur James Brown qu'il coproduit. La journée est très musicale avec l'association de ces deux légendes qui ont en commun leur performance, leur longévité sur scène et leurs qualités d'hommes d'affaires.

    "Il faut faire de la promotion pour tout désormais, vous savez comment tourne le monde aujourd'hui", reconnaît sir Mick, producteur de cinéma à ses heures, et propriétaire déjà depuis un certain temps la société Jagged productions. Le rocker reconnaît qu'il a dû faire preuve de persuasion pour "convaincre les studios qu'on allait faire un bon film", à défaut d'un succès. Sorti début août aux États-Unis il sera sur les écrans français à partir du 24 septembre.

    Des débuts difficiles

    La projection en avant-première à Deauville est prévue en soirée, après le passage de Mick Jagger et de l'équipe du film sur le tapis rouge. La mise en scène est de l'acteur et réalisateur Tate Taylor, qui s'est déjà illustré en 2011 avec The Help ("La couleur des sentiments"). Beau succès au box office, The Help a obtenu l'Oscar de la meilleure actrice pour un second rôle attribué à Victoria Spencer - qui apparaît dans Get on up sous les traits de la tante de James Brown.

    Dans cette biographie cinématographique particulièrement réussie, James Brown est incarné par Chadwick Boseman, surtout connu pour ses rôles dans plusieurs séries télévisées américaines. Le film retrace les débuts difficiles dans la vie de "Mr Dynamite", élevé dans une bicoque d'Augusta, en Géorgie, violenté par son père, abandonné par sa mère puis pris en charge par sa tante, une tenancière de bordel, avant de se retrouver en prison à l'adolescence, pour un vol de costume.

    "Je suis le show et le business"

    Mais le jeune James, qui a le rythme dans la peau et qui est doté d'un charisme hors du commun, va bientôt se faire remarquer sur le plan musical, d'abord à l'église dans les gospels puis dans le rhythm and blues avec son compère Bobby Byrd. Ensemble, ils connaissent le succès à la fin des années 1950 au sein du groupe The Famous Flames. Petit clin d'oeil de l'histoire, le film relate le moment où l'on apprend à James Brown en 1964 qu'il ne passera qu'en première partie au T.A.M.I show de Santa Monica, en Californie, pour céder la vedette à un groupe de jeunes venus d'Angleterre... les Rolling Stones. "Bienvenue en Amérique", lance James Brown à Mick Jagger et ses partenaires après sa prestation, qui dépassera celle des Stones en termes d'enthousiasme d'un public particulièrement gâté ce soir-là.

    Get on up met bien en valeur les qualités scéniques du "parrain" de la musique soul et funk mais ne cache rien du chanteur despote vis-à-vis de ses musiciens, du patron intraitable ayant un sens inné des affaires comme du mari violent. "Je suis le show et le business", aimait-il à répéter.

    Mick Jagger, 71 ans et toujours en tournée, admet qu'il s'est un peu inspiré du jeu de scène de James Brown, tout en reconnaissant qu'il y avait des gestes qui lui étaient impossibles à réaliser. Peu avant de mourir d'une pneumonie, le jour de Noël 2006, à l'âge de 73 ans, James Brown réussissait encore, dit-on, à faire le grand écart.

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  • MUSIQUE - Daryl Hannah et Neil Young seraient ensemble depuis plusieurs mois. Peut-on y voir la cause du divorce du chanteur ?

    Découverte il y a 30 ans grâce à son rôle dans Splash, il semblerait qu’avec ou sans sa queue de sirène, le charme de Daryl Hannah soit toujours aussi efficace pour séduire les hommes. Et le dernier en date à avoir succombé serait le chanteur Neil Young, d’après ce qu’une source qui a confié à People : « Ils se voient depuis des mois ». Hasard du calendrier, le chanteur vient tout juste de divorcer, mettant ainsi fin à trente-six années de mariage…

    Toujours d’après la source de People, « ils n’ont fait aucun effort pour se cacher. Il a enregistré un nouvel album il y a quelques semaines et elle a passé son temps sur Skype, à lui donner ses impressions sur chacune des prises. Il a même dit aux gens présents dans le studio qu’elle était sa "petite copine" ».

    Unis par un même engagement écologiste, Daryl Hannah et Neil Young se connaissent et sont amis depuis des années. Des liens d’amitié qui semblent bien avoir évolué vers des sentiments plus forts.

    Cette relation, n’est pourtant pas vue d’un bon œil par tous. David Crosby, ancien membre du groupe de Neil Young, a eu des mots très durs sur cette relation. « J’ai appris que [Young] sort avec une personne qui est purement une prédatrice toxique », il a beau ne pas la nommer, il semble pourtant pointer son doigt en direction de Daryl Hannah. Très remonté il ajoute : « C’est le karma. Il va souffrir. Mais je comprends ce qui s’est passé. Et j’en suis triste. Ça me rend toujours triste de voir l’amour jeté dans le caniveau ».

    Si Neil Young a visiblement perdu un ami, il pourra heureusement se consoler dans les bras de Daryl Hannah.

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  • English Evenings - Touch - 1984

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  • Jefferson Starship - Jane - 1979

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  • MUSIQUE - Madonna est en studio depuis plusieurs mois afin de concocter son 13ème album studio. Si on sait que Pharrell Williams, Diplo ou Avicii ont participé au projet, la Madone vient de confirmer une collaboration avec Alicia Keys.

    Tous les fans de Madonna ont les yeux rivés sur le compte Instagram de la Queen of Pop. Depuis plusieurs mois maintenant, l’interprète de "Vogue" n'a cessé de teaser son retour musical sur les réseaux sociaux. Un moyen idéal de faire monter la pression, deux ans après l'accueil timide réservé à son dernier album "MDNA". Au fil du temps, son public a ainsi pu apercevoir des photos de la chanteuse en studio, ainsi que les paroles et un extrait d'un titre mystérieux "Messiah", sans oublier quelques autres bribes de textes. Un teasing bien orchestré d'autant que de nombreux artistes ont récemment partagé des sessions d'enregistrements avec Madonna, de Pharrell Williams au DJ Avicii, en passant par le producteur Diplo, la chanteuse Natalia Kills ou le prodige britannique MNEK. Des rumeurs ont même avancé un duo avec le logiciel Siri d'Apple.

    Depuis le début, Madonna a pris l'habitude d'accompagner ses messages et clichés avec de nombreux hashtags dont #unapologeticbitch, qui pourrait être le nom de son prochain album. Le titre "Bitch, I'm Madonna" a d'ailleurs été confirmé par Diplo. Si la chanteuse est toujours en studio actuellement et que les informations officielles, comme la pochette, la date de sortie et la tracklist, se font attendre, Madonna a fait une grande annonce sur son compte Instagram hier. En effet, elle a confirmé une collaboration avec Alicia Keys. « #wearehere Alicia killin it on my record.... #livingforlove » a-t-elle posté en légende d'une photo d'elle tenant un carton sur lequel est inscrit : « I am here to fuck shit up ». Un clin d'oeil appuyé au dernier titre d'Alicia Keys, "We Are Here". Dans la foulée, Diplo a diffusé un cliché de lui et Alicia Keys au piano durant une session de travail.

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  • Sigue Sigue Sputnik - Love Missile F1-11 - 1986

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